Didier Guillaume, le directeur de campagne de Manuel Valls, assure que l'ancien Premier ministre, candidat à la primaire du PS, ne proposera pas "un catalogue de promesses et de milliards".
"Nous ne voulons pas faire une campagne de la primaire en évoquant des pourcentages, en évoquant des milliards. Qu'est-ce que c'est 1.000 milliards pour quelqu'un qui gagne 1.250 euros par mois? Nous voulons des idées qui entraînent", a déclaré Didier Guillaume mardi sur France 2.
"Le projet pour la France que Manuel Valls proposera tout à l'heure (mardi en fin de matinée, ndlr), ce n'est pas un catalogue de promesses et de milliards, les Français n'y croient plus". "On retrouvera ce qu'est Manuel Valls, le bilan de la gauche aux responsabilités (...), mais également le droit d'inventer".
Didier Guillaume le 22 mars 2016 au Sénat à Paris
AFP/Archives
Le directeur de campagne de Valls indique qu"il doit démontrer qu'il a la force d'être président de la République, (...) montrer qu'après le bilan il a des idées nouvelles, des idées novatrices, des idées modernes, des fortes, des idées qui peuvent cliver, afin de porter un projet présidentiel, et enfin, être capable de rassembler la gauche et au-delà de la gauche".
L’accord sur les migrants annoncés par Emmanuel Macron et le premier ministre britannique Keir Starmer est accueilli froidement au Sénat, à droite, comme à gauche. Du côté de Calais, « la situation est lourde à supporter », rappelle le sénateur LR du Pas-de-Calais, Jean-François Rapin.
Organisé conjointement avec l’Assemblée nationale, le Sénat accueille du 9 au 13 juillet, la 50ème session de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF). A cette occasion, plus de 60 pays francophones sont représentés et 30 présidents de parlement étrangers participent à des travaux dans les deux chambres du Parlement français.
Face à l’enlisement des débats sur la proposition de loi de réforme de l’audiovisuel public au Sénat, la ministre de la Culture active l’article 44.3 de la Constitution. Utilisé pendant la réforme des retraites de 2023, cette disposition permet au Sénat de se prononcer par un vote unique sur l’ensemble du texte, avec les amendements retenus par le gouvernement.
Dans un monde qui fait face à un moment de bascule, face aux menaces militaires multiples, le chef de l’Etat prononcera un discours centré sur « le besoin d’un effort de défense » supplémentaire. Le Président veut aussi permettre à la jeunesse de « servir la défense nationale ».
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Le Sénat rejette la réforme du scrutin Paris - Lyon - Marseille
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