Retailleau (LR): « La droite n’est pas soluble dans le macronisme »
Le chef de file des sénateurs LR, Bruno Retailleau, a jugé dimanche que "la droite n'est pas anéantie" malgré sa défaite aux...

Retailleau (LR): « La droite n’est pas soluble dans le macronisme »

Le chef de file des sénateurs LR, Bruno Retailleau, a jugé dimanche que "la droite n'est pas anéantie" malgré sa défaite aux...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Le chef de file des sénateurs LR, Bruno Retailleau, a jugé dimanche que "la droite n'est pas anéantie" malgré sa défaite aux législatives et qu'elle n'est "pas soluble dans le macronisme".

"Ce soir la droite a perdu mais elle n'est pas anéantie. Je félicite nos députés élus, ils constitueront le premier groupe d'opposition à l'Assemblée nationale. Nous aurons besoin d’eux pour constituer une opposition vigilante et pour préparer l’avenir", a déclaré le sénateur de Vendée dans un communiqué.

"La droite n’est pas soluble dans le macronisme. Elle doit désormais se renouveler en profondeur pour que nos convictions puissent demain convaincre à nouveau les Français", a ajouté M. Retailleau.

"Ce second tour des élections législatives confirme en l’amplifiant l’abstention record du premier tour et de la présidentielle. C’est une mauvaise nouvelle pour la démocratie comme pour la nouvelle majorité présidentielle. Ce soir, Emmanuel Macron est un colosse aux pieds d’argile", a-t-il jugé.

"Avec une majorité écrasante mais peu représentative, il devra se garder de la tentation hégémonique", a prévenu le président du groupe Les Républicains au Sénat.

Partager cet article

Dans la même thématique

Paris: Gerard Larcher concertation E. Macron
3min

Politique

Budget : à la recherche d’un compromis, Emmanuel Macron reçoit Gérard Larcher et Yaël Braun-Pivet

A une semaine de la réunion de la commission mixte paritaire sur le budget, Emmanuel Macron a reçu jeudi les présidents du Sénat et de l’Assemblée nationale, Gérard Larcher et Yaël Braun-Pivet, en présence de Sébastien Lecornu. Le sort du projet de loi de finances repose en partie sur les chances de voir les députés et sénateurs trouver un compromis, sous peine de retravailler sur le budget en début d’année 2026.

Le