Politique
Le Collège-Lycée expérimental d’Hérouville-Saint-Clair invente une école différente. Créé en 1982 par une poignée de professeurs, cet établissement du Calvados propose des horaires aménagés pour mieux respecter le rythme de l’enfant.
Le
Par Yann Quercia
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Alors qu'Emmanuel Macron recevait vendredi dernier à déjeuner à l'Élysée 150 maires des Hauts-de-France, Emmanuel Macron semble ouvert à l’idée d’un dispositif imaginé par Nicolas Sarkozy, et abrogé par François Hollande : le conseiller territorial. « J’avais voté le conseiller territorial quand il avait été présenté sous Nicolas Sarkozy » rappelle ce matin Jacqueline Gourault. Elle ajoute : « C’est une solution qui a été mise sur la table. »
Jacqueline Gouraullt estime que ce dispositif permet de répondre au besoin de proximité exprimé par les Français : « Il y a une chose qui est certaine, c’est que les Français demandent plus de proximité avec les collectivités territoriales et l’Etat. C’est une manière de répondre au manque de proximité. »
Elle conclut : « Cela a été déposé sur la table et ça n’a même pas été discuté avec les associations d’élus. »
Mercredi 28 mars, la commission des lois du Sénat a rejeté la dénomination « Collectivité européenne d'Alsace » pour la remplacer par le terme « département d'Alsace ». Plusieurs amendements avaient été déposés en ce sens. « Il y a un accord qui a été signé par le Premier ministre, les élus alsaciens, que le gouvernement va soutenir dans le débat parlementaire » réagit ce matin Jacqueline Gourault.
Le vote du Sénat fait suite à la recommandation du Conseil D’Etat de changer la dénomination du futur département alsacien. Jacqueline Gourault affirme que le gouvernement soutiendra les amendements qui permettront le retour du nom « Collectivité européenne d'Alsace » : « C’est vrai qu’il y a eu un amendement en commission qui a été adopté et qui a changé le nom prévu dans l’accord. Le gouvernement soutiendra tous les amendements pouvant rétablir ce qui était dans l’accord (…) Nous tiendrons nos engagements. »
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