Salon de l’agriculture : ouverture ce samedi
Ce samedi 25 février,  le Salon de l’agriculture ouvre ses portes à Paris pour une semaine consacrée au monde agricole.

Salon de l’agriculture : ouverture ce samedi

Ce samedi 25 février,  le Salon de l’agriculture ouvre ses portes à Paris pour une semaine consacrée au monde agricole.
Public Sénat

Par Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Ce samedi 25 février,  le Salon de l’agriculture ouvre ses portes à Paris pour une semaine consacrée au monde agricole. Une 54ème édition marquée, une fois de plus, par le climat de crise qui frappe les éleveurs et les céréaliers français. Scrutin présidentiel oblige, tous les candidats à la présidence de la République seront attendus de pied ferme pour tenter de répondre aux urgences du secteur, frappé récemment par la mort brutale de Xavier Beulin, patron de de la FNSEA, premier syndicat agricole.

Pour la 15ème année consécutive, Public Sénat se mobilise, en partenariat avec Campagnes TV, pour rendre compte tous les jours de l’évènement. Au programme, 10 émissions débats en direct, 4 séries documentaires, 9 magazines.

Retrouvez ici  tous les articles et les vidéos, les repaly consacrés à cette édition ici

Partager cet article

Dans la même thématique

Salon de l’agriculture : ouverture ce samedi
8min

Société

Voitures en bout de course, hélicos hors d’âge, loyers qui plombent les comptes : le numéro 1 de la gendarmerie alerte devant le Sénat

Malgré un budget en légère hausse de 200 millions d’euros en 2026, la gendarmerie nationale est contrainte à des « renoncements » multiples, alerte son directeur général, Hubert Bonneau. Face à une hausse de la délinquance et des missions diverses, y compris l’appui aux armées, en cas de guerre face à une autre nation, ses moyens sont insuffisants, juge le patron de la gendarmerie.

Le

SNCF la greve du 21 novembre 2024 en forme ultimatum.
5min

Société

Sabotage sur le réseau SNCF : « Surveiller un tel réseau, c’est quasi-impossible » estime-t-on au Sénat

Après des actes de malveillance qui ont paralysé plusieurs lignes importantes du réseau ferroviaire dimanche et lundi, le ministre des Transports a pointé la difficulté technique de sécuriser 28 000 km de voies. Les parlementaires pointent la même difficulté, alors que les acteurs du ferroviaire soulignent tous un « sous-investissement chronique » dans les infrastructures.

Le