Politique
Invité de la matinale de Public Sénat, le porte-parole du PS et président du département de Seine-Saint-Denis, Stéphane Troussel appelle à la démission du Premier ministre s’il a une forme d’omerta autour de Notre-Dame de Bétharram.
Le
Par Flora Sauvage
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Face à l’offensive macroniste, la gauche part en ordre dispersé. Sur le papier, la gauche part favorite dans la capitale. En résistant à la vague bleue aux municipales de 2014, les grands électeurs sont plutôt acquis à la gauche. Le PS compte 5 sénateurs sortants. Maire du 10è arrondissement de Paris, Rémi Féraud tête de liste espère en garder 3 ou 4. Ce qui pourrait pénaliser Marie Noëlle Lienemann en 4è position sur la liste socialiste.
Jérôme Bargeton tête de liste de la République en marche, reste modeste dans ses ambitions. Tout l’enjeu pour lui est de parvenir à réunir les voix de droite et du centre. Pour convaincre les grands électeurs il a placé sur sa liste en 2è position une Modem Fadila Mehal et en 3è position un LR devenu macroniste Jérôme Dubus. Il espère obtenir 1 ou 2 sièges.
Les écologistes sont en position délicate car Esther Benbassa qui dirige la liste EELV se voit menacée par la liste dissidente de Bernard Jomier actuel adjoint à la santé d’Anne Hidalgo. Celui-ci table sur le soutien de poids de deux ex maires d’arrondissements PS passés à En Marche Daniel Vaillant et Roger Madec.
Enfin Pierre Laurent, actuel sénateur de Paris, et secrétaire national du parti communiste est à peu près assuré de retrouver son siège dimanche.
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