Un Train de la présidentielle sur les rails jusqu’au 13 avril
Un Train de la présidentielle entamera dimanche un tour de France jusqu'au 13 avril pour présenter dans 31 villes étapes l...

Un Train de la présidentielle sur les rails jusqu’au 13 avril

Un Train de la présidentielle entamera dimanche un tour de France jusqu'au 13 avril pour présenter dans 31 villes étapes l...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Un Train de la présidentielle entamera dimanche un tour de France jusqu'au 13 avril pour présenter dans 31 villes étapes l'histoire de l'élection présidentielle sous la Ve République à travers le couple politique et médias, a annoncé jeudi la SNCF.

Initiée par France Télévisions, Radio France, France Médias Monde, l’INA, le Groupe Randstad France et la SNCF, et avec le soutien de l’AFP et de la Documentation française, cette manifestation sera l'occasion de raconter les coulisses de l'élection présidentielle.

Des master classes seront organisées pour le grand public et les scolaires dans la plupart des étapes.

Ce train de plus de 300 mètres de long et composé de 13 voitures s’arrêtera dans 31 villes étapes de 12 régions métropolitaines. Il va parcourir 6.000 kilomètres.

Le Train de la Présidentielle sera ouvert au public à partir de dimanche en gare de Paris-Lyon. Il fera l’objet d’un lancement officiel en direct du journal télévisé de 20H de France 2 ainsi que sur l’antenne radio de franceinfo, en présence notamment des présidents de la SNCF et de l'AFP, Guillaume Pepy et Emmanuel Hoog.

Il se rendra ensuite à Amiens, première étape d'un périple de près de six semaines qui s'achèvera à Reims via notamment Lille, Caen, Nantes, Tours, Toulouse, Marseille, Lyon ou Strasbourg.

Partager cet article

Dans la même thématique

Paris : session of questions to the government at the Senate
9min

Politique

Face à un « budget cryptosocialiste », la majorité sénatoriale veut « éradiquer tous les impôts » votés par les députés

Ils vont « nettoyer » le texte, le « décaper ». Les sénateurs de droite et du centre attendent de pied ferme le budget 2026 et le budget de la Sécu. Après avoir eu le sentiment d’être mis à l’écart des discussions, ils entendent prendre leur revanche, ou du moins défendre leur version du budget : plus d’économies et faire table rase des impôts votés par les députés.

Le

Marseille: Amine Kessaci candidate
4min

Politique

Assassinat du frère d’Amine Kessaci : le militant écologiste engagé contre le narcotrafic était « sous protection policière et exfiltré de Marseille depuis un mois »

Le petit frère d’Amine Kessaci, jeune militant écologiste marseillais, connu pour son combat contre le narcotrafic, a été tué par balles jeudi soir à Marseille. L’hypothèse d’un assassinat d’avertissement est privilégiée et pourrait faire basculer la France un peu plus vers ce qui définit les narco Etats. C’est ce que craignaient les sénateurs de la commission d’enquête sur le narcotrafic. Le sénateur écologiste de Marseille Guy Benarroche, proche d’Amine Kessaci a pu s’entretenir avec lui, ce matin.

Le

Un Train de la présidentielle sur les rails jusqu’au 13 avril
2min

Politique

Assassinat du petit frère d’Amine Kessaci : revoir le documentaire sur le combat contre le narcotrafic du militant marseillais 

Mehdi, le petit frère d’Amine Kessaci, jeune militant écologiste marseillais, connu pour son combat contre le narcotrafic, a été tué par balles jeudi soir à Marseille. En 2020, c’est l’assassinat de son grand frère Brahim, qui avait conduit le jeune garçon à s’engager en politique. Son parcours est le sujet du documentaire « Marseille, des larmes au combat », Anaïs Merad, à revoir sur Public Sénat.

Le

Un Train de la présidentielle sur les rails jusqu’au 13 avril
3min

Politique

Projet de loi anti-fraudes : « C’est un objet politique qui vise essentiellement à montrer du doigt la fraude sociale »

Invités sur le plateau de Parlement Hebdo, le sénateur Bernard Jomier (Place Publique) et le député Sylvain Berrios (Horizons) sont revenus sur le projet de loi pour lutter contre les fraudes fiscales et sociales, examiné par la Chambre haute depuis mercredi. La majorité rassemblant les élus de la droite et du centre au Sénat ont affermi le texte en commission, y ajoutant une batterie de mesures qui ne fait pas consensus.

Le