Vidéos. Les auditions des trois candidats à la présidence de Public Sénat en 2021
Ce mardi 23 mars, 3 candidats à la présidence de Public Sénat étaient auditionnés par la commission de sélection, composée de sénateurs et de sénatrices.
Christopher Baldelli, Damien Fleurot, Emmanuel Kessler, avaient chacun 40 minutes pour présenter leur projet pour la chaîne. À l’issue des auditions, la commission s’est réunie à huis clos pour délibérer. Les trois candidatures sont retenues. Les candidats seront entendus une nouvelle fois, cette fois par le Bureau du Sénat, le 15 avril. Sur la proposition du Président du Sénat, il appartiendra au Bureau de nommer le nouveau président-directeur général de Public Sénat, pour une prise de fonction le 1er juin 2021.
L’audition d’Emmanuel Kessler
L’audition de Damien Fleurot
L’audition de Christopher Baldelli
Élection du PDG de Public Sénat : audition de Christopher Baldelli
Les sénateurs du groupe communiste républicain écologiste et citoyen - kanaky (CRCE-k) ont déposé, ce 25 juillet, une proposition de loi constitutionnelle visant à préciser le statut de gouvernement démissionnaire.
Les élus sont souvent une cible privilégiée pour les ingérences étrangères. Si les atteintes à la probité existent, les formes d’influences sont diverses et se renouvellent. Après l’adoption de la loi sur les ingérences étrangères le 5 juin dernier, retour sur les règles s’appliquant aux élus pour prévenir les ingérences.
A la tête des Patriotes, le troisième groupe le plus important numériquement au Parlement européen et désormais membre de la prestigieuse commission des affaires étrangères, Jordan Bardella entend poursuivre à Strasbourg sa stratégie de « normalisation ». Une stratégie compromise cependant par le « cordon sanitaire » des partis pro-européens contre l’extrême-droite et par certaines personnalités embarrassantes au sein de son camp.
Le 24 juillet, Olivier Faure a adressé à Didier Roland-Tabuteau, vice-président du Conseil d’Etat, un courrier pour alerter la juridiction administrative sur l’exercice du pouvoir réglementaire par le gouvernement démissionnaire de Gabriel Attal. Si cette lettre interroge les diverses nominations à effet différé qui ont eu lieu au cours des deux derniers mois, elle constitue en réalité davantage un message politique qu’un véritable recours contentieux.