Xavier Bertrand : « Je suis pour des zones franches rurales »
Interrogé au micro de Public Sénat, lors de son passage au Salon de l’agriculture, Xavier Bertrand, président de la région Hauts-de-France, s’est présenté comme le défenseur de l’agriculture et milite pour des zones franches rurales en France.

Xavier Bertrand : « Je suis pour des zones franches rurales »

Interrogé au micro de Public Sénat, lors de son passage au Salon de l’agriculture, Xavier Bertrand, président de la région Hauts-de-France, s’est présenté comme le défenseur de l’agriculture et milite pour des zones franches rurales en France.
Public Sénat

Par Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Le président (LR) de la région Hauts-de-France, Xavier Bertrand se veut être un porte-parole de l’agriculture au niveau national et demande aux politiques de ne pas s’intéresser aux agriculteurs uniquement au moment du Salon de l’agriculture : « J’aimerais bien qu’on ne témoigne pas de notre attachement à l’agriculture seulement pendant le salon (…) et qu’on n’en parle pas seulement quand il y a des crises».

Le président (LR) de la région Hauts-de-France, souhaite baisser les charges des agriculteurs pour qu’ « ils vivent mieux » et « puissent investir » et estime qu’il faut mettre en place des zones franches rurales : « Moi, je suis pour des zones franches rurales. On a su trouver les moyens en ville pour redonner de l’activité dans les quartiers mais on peut le faire en milieu rural ».

Partager cet article

Dans la même thématique

Xavier Bertrand : « Je suis pour des zones franches rurales »
11min

Politique

Budget : début de l’examen au Sénat, qui se voit en « véritable lanceur d’alerte des dégâts budgétaires »

Après le rejet du texte par les députés, les sénateurs examinent à leur tour le budget 2026, marqué par le contexte d’instabilité politique. La majorité sénatoriale de droite et du centre entend aider les entreprises et les collectivités, tout en diminuant les budgets de plusieurs ministères pour renforcer les économies. Le ministre de l’Economie, Roland Lescure, se dit « persuadé qu’un compromis » reste encore « possible », malgré les antagonismes.

Le