France Politics
France's President Emmanuel Macron attends a ceremony commemorating the 80th anniversary of the liberation of the port city of Le Havre, western France, Thursday, Sept. 12, 2024. (Benoit Tessier, Pool photo via AP)/XTC114/24256658231074/POOL PHOTO/2409122044

Destitution d’Emmanuel Macron : la procédure validée par le bureau de l’Assemblée

La procédure de destitution d'Emmanuel Macron, portée par la France insoumise, a été jugée recevable mardi par le bureau de l'Assemblée, qui l'a renvoyée devant la commission des Lois, selon des sources parlementaires.
Caroline Deschamps

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

La plus haute instance exécutive du Palais Bourbon a donc validé la première étape de cette procédure, par 12 voix contre 10 selon plusieurs sources parlementaires. Prochaine étape : l’examen de la résolution par la commission des lois.

La procédure n’a toutefois aucune chance d’aboutir, tant le chemin est semé d’embuches : lire notre article sur le sujet.

(Avec AFP)

Partager cet article

Pour aller plus loin

Dans la même thématique

Budget 2025 : le Conseil constitutionnel ne censure aucune disposition clé, mais écarte dix articles pour des raisons de forme
2min

Parlementaire

Narcotrafic : le Conseil constitutionnel censure certaines dispositions relatives au renseignement, comme le « dossier coffre »

Saisi par les députés insoumis, écologistes et socialistes, le Conseil constitutionnel a remis sa décision sur la proposition de loi visant à sortir la France du piège du narcotrafic. Il a censuré jeudi une poignée d'articles de la loi visant « à sortir la France du piège du narcotrafic », mais a validé, à une réserve près, le régime carcéral d'isolement prévu pour les narcotrafiquants les plus dangereux.

Le

Destitution d’Emmanuel Macron : la procédure validée par le bureau de l’Assemblée
4min

Parlementaire

Fin de vie : « Si j’étais parlementaire, je ne voterais pas cette loi », déclare Jean Leonetti, auteur du premier texte sur le sujet en 2005

Auditionné par la commission des affaires sociales, l’ancien député Les Républicains, Jean Leonetti s’est dit opposé à la proposition de loi relative au droit à l’aide à mourir, adoptée le 27 mai dernier à l’Assemblée nationale. Il redoute le manque de « garde-fous » et la difficulté de définir le « pronostic vital engagé à court terme ».

Le