158 candidats investis par La République En Marche pour les sénatoriales
La République En Marche a investi 158 candidats pour les sénatoriales du 24 septembre, où 171 sièges sont renouvelés.

158 candidats investis par La République En Marche pour les sénatoriales

La République En Marche a investi 158 candidats pour les sénatoriales du 24 septembre, où 171 sièges sont renouvelés.
Public Sénat

Par Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Mis à jour le

La République En Marche a investi en tout 158 candidats pour les sénatoriales du 24 septembre, où 171 sièges sont renouvelés, annonce le parti dans un communiqué. Une différence qui s’explique notamment par le fait que le parti présidentiel ne présente pas de liste en Martinique ou en Nouvelle Calédonie.

LREM précise que « 6 listes sont menées par des candidats issus de la société civile et plus d’un tiers des têtes de liste ou des candidats dans les départements à scrutin uninominal sont des femmes ». « La parité est atteinte sur l’ensemble des investitures » assure encore le parti. La parité est obligatoire pour les départements élisant les sénateurs à la proportionnelle, mais pas dans les départements au scrutin majoritaire.

LREM souligne aussi « la désignation de candidats issus de toutes les sensibilités politiques » (voir notre article pour plus de détails sur les couleurs politiques des candidats LREM).

La commission d’investiture d’En Marche a voulu « designer des candidats ayant une connaissance approfondie des élus, de leur territoire ou du fonctionnement des collectivités territoriales », alors que la moitié des candidats présentés aux législatives venaient de la société civile ou n’avait jamais exercé de mandat. Une différence qui s’explique par la spécificité de l’élection. Les sénateurs sont élus essentiellement par les élus locaux. Les conseillers municipaux et leurs délégués représentent 96% des grands électeurs.

Partager cet article

Dans la même thématique

Capture
5min

Politique

Un accord de libre-échange entre la Chine et l'Union européenne serait "extrêmement dangereux" pour cette eurodéputée

Scandale Shein, restrictions sur les terres rares, déferlement d'exportations sur le Continent : ces dernières semaines ont fourni aux européens de nombreux motifs d'inquiétude dans leur relation avec Pékin. Alors que Donald Trump a scellé un accord d'un an avec le président Xi Jin Ping, l'UE semble sur le banc de touche. Un sursaut est-il possible ? Ou bien sommes-nous condamnés à rester à la remorque de la Chine ? Débat dans "Ici l'Europe" avec les eurodéputés Sandro Gozi (Renew, France) et Estelle Ceulemans (S&D, Belgique).

Le

Photo Cazeneuve
11min

Politique

Attentats du 13 novembre 2015, le récit de Bernard Cazeneuve : « Très vite, on a conscience que nous sommes confrontés à une attaque de grande ampleur »

ENTRETIEN - Dix ans après les attentats de Paris et de Seine-Saint-Denis, qui ont coûté la vie à 130 personnes, l'ancien ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, revient auprès de Public Sénat sur cette nuit de terreur, et la gestion de crise aux côtés du Président de la République et du Premier ministre.

Le

158 candidats investis par La République En Marche pour les sénatoriales
3min

Politique

« Il n’y a aucune délinquance dans les écoles de musique », affirme le chef d’orchestre Jean-Claude Casadesus

Il est sans conteste le maestro français le plus célèbre de sa génération. A 92 ans, Jean-Claude Casadesus continue de remplir les plus belles salles du monde sans jamais renier son attachement à la région du Nord. Lui qui a créé puis dirigé l’orchestre national de Lille, s’est engagé toute sa vie pour rendre la musique classique accessible à tous. Invitée de Rebecca Fitoussi dans Un monde, Un regard, Il revient sur son immense carrière marquée par la passion et le partage.

Le

Paris: Senate pension debat
6min

Politique

Retraites : la gauche du Sénat désunie sur la suspension de la réforme

A partir du 19 novembre, le Sénat examinera en séance publique le projet de loi de financement de la Sécurité sociale et sa mesure phare : la suspension de la réforme des retraites. Une concession du gouvernement faite au PS qui n’a aucune chance d’être adoptée à la haute assemblée à majorité de droite. Les socialistes ne devraient également ne pas être suivis par les communistes et écologistes sur le vote de cette mesure.

Le