1er mai: Dupont-Aignan réclame la dissolution des groupes “fascistes d’extrême gauche”

1er mai: Dupont-Aignan réclame la dissolution des groupes “fascistes d’extrême gauche”

Le président de Debout la France, Nicolas Dupont-Aignan, a réclamé mercredi la dissolution "de tous les groupes fascistes d...
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Le président de Debout la France, Nicolas Dupont-Aignan, a réclamé mercredi la dissolution "de tous les groupes fascistes d'extrême gauche" au lendemain de violences à la manifestation parisienne du 1er mai, dénonçant "la tolérance" du gouvernement à leur égard.

"Debout la France demande la dissolution de tous les groupes fascistes d'extrême gauche, la mise hors d'état de nuire des professionnels de la violence en bande organisée et l'expulsion de tous les militants violents étrangers", écrit dans un communiqué l'ancien allié de Marine Le Pen au second tour de la présidentielle.

"Ces événements révèlent l'absence de contrôle du gouvernement sur les groupes d'extrême gauche de toutes obédiences et pire, sa tolérance envers leurs méfaits en bande organisée. Hélas, le monstre finit toujours par échapper au maître!", ajoute le député de l'Essonne.

"Sous les pavés de Paris, la ZAD de Notre-Dame-des-Landes?", se demande l'élu, pour qui "le dispositif de sécurité (de la manifestation) a été totalement débordé".

"Le gouvernement doit répondre devant le Parlement du niveau intolérable de ces violences. En effet, l'Etat disposait d'alertes précises des services de renseignements et de centaines de caméras capables de repérer en amont l'arrivée et le rassemblement de ces meutes", explique M. Dupont-Aignan.

"Nos forces de l'ordre et les contribuables paient donc au prix fort soit l'incompétence, soit le machiavélisme misérable du gouvernement dont le laxisme a permis à ces groupes de saccager un mouvement social pacifique", poursuit-il.

M. Dupont-Aignan estime que ces événements "trahissent la fausse fermeté d'Emmanuel Macron". "Les postures d'autorité en paroles du président n'ont aucune réalité concrète contre les +zadistes+ de Nantes, les squatteurs des facs ou les réseaux +No Border+ de passeurs de migrants".

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