Valérie Létard rejoint Gérard Larcher sur sa volonté de dire « le droit, tout le droit et rien que le droit ». Elle s’est assurée que le rapport était « posé en termes juridiques ».
Ainsi, le rapport est décomposé comme suit :
- Le premier niveau concerne « les personnes pour lesquelles les éléments qui fondent une suspicion pour faux témoignage sont réunis ». Il s’agit d’Alexandre Benalla, Vincent Crase et Patrick Strzoda (pour la partie « missions »).
- Ensuite, les personnes pour lesquelles « les éléments sont identifiés mais insuffisants pour considérer qu’il y a une suspicion de faux témoignage avéré à ce stade ». Il s’agit d’Alexis Kohler, Lionel Lavergne et Patrick Strzoda (pour les autres parties).
- Enfin, les personnes pour lesquelles « les éléments sont figurés en annexe du rapport et transmis à la justice pour qu’elle puisse, le cas échéant, pousser les investigations ».