Affaire Lambert : l’arrêt des soins, « une sage décision » pour Bernard Jomier

Affaire Lambert : l’arrêt des soins, « une sage décision » pour Bernard Jomier

Le sénateur (PS) de Paris Bernard Jomier, réagit à l’arrêt des soins de Vincent Lambert, effectué ce lundi.
Public Sénat

Par Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Ce lundi 20 mai a démarré l’interruption des soins de Vincent Lambert, alors que ses parents y sont fortement opposés. Au micro de « Sénat 360 », le sénateur (PS) de Paris Bernard Jomier estime que cet arrêt est « une sage décision » tout en soulignant « respecter la souffrance d’une mère ».

Et d’ajouter : « J’appelle surtout à ce qu’à partir de ce cas qui est douloureux et malheureux, on ne l’instrumentalise pas en campagne électorale pour projeter ses propres idées ».

Pour le sénateur de Paris, également médecin, les demandes de poursuite de soin soulevées par certains membres des Républicains ou du Rassemblement national, ne « sont pas très dignes » : « Cette question de la fin de vie mérite mieux (…) On meurt mal en France et notamment parce que les soins palliatifs ne sont pas assez développés. »  

Dans la même thématique

Affaire Lambert : l’arrêt des soins, « une sage décision » pour Bernard Jomier
3min

Politique

Cacophonie sur le voile dans le sport : « Chaque petite déclaration peut nous détourner de notre objectif », affirme Laurent Marcangeli

Invité de la matinale de Public Sénat, Laurent Marcangeli est revenu sur la cacophonie gouvernementale autour du port du voile dans le sport et appelle chacun « à ne pas trop se disperser », et à ne pas mettre de démission dans la balance, tout en refusant de commenter la « communication » de son « ami » Gérald Darmanin.

Le

Affaire Lambert : l’arrêt des soins, « une sage décision » pour Bernard Jomier
3min

Politique

Voile dans le sport : le gouvernement promet l’inscription du texte du Sénat à l’ordre du jour de l’Assemblée

Le gouvernement précise sa position sur le texte du Sénat visant à interdire le port de signes religieux dans les compétitions sportives. L’exécutif inscrira bien la proposition de loi à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale. Un recadrage, alors que les ministres des Sports et de l’Education nationale affirmaient que ce n’était pas une priorité.

Le