Alain Juppé annonce accepter de siéger au Conseil constitutionnel
Le maire de Bordeaux Alain Juppé a annoncé mercredi qu'il avait accepté la proposition du président de l'Assemblée nationale...

Alain Juppé annonce accepter de siéger au Conseil constitutionnel

Le maire de Bordeaux Alain Juppé a annoncé mercredi qu'il avait accepté la proposition du président de l'Assemblée nationale...
Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Le maire de Bordeaux Alain Juppé a annoncé mercredi qu'il avait accepté la proposition du président de l'Assemblée nationale Richard Ferrand de siéger au Conseil constitutionnel.

"J’ai décidé, il y a plusieurs mois, de ne pas me représenter à l’élection municipale de mars 2020. Je comptais annoncer cette décision au lendemain des élections européennes fin mai prochain. Ma nomination bouleversera ce calendrier", écrit-il dans un communiqué.

"C’est avec une profonde émotion que je me prépare à quitter mes fonctions de maire et de président de la métropole de Bordeaux qui m’ont procuré tant de bonheur. Je donnerai mes raisons aux Bordelais(e)s lors d’un point de presse" jeudi, ajoute-t-il.

Depuis plus d'un an, l'ancien Premier ministre laissait planer le doute sur sa volonté de se représenter aux prochaines municipales.

Il restera comme le maire qui a transformé Bordeaux, régénérant les bords de la Garonne, installant le tramway, inaugurant la Cité du vin... pour faire de la capitale de la Nouvelle Aquitaine un grand centre touristique.

Partager cet article

Dans la même thématique

5min

Politique

Conférence Travail et Retraites : « Si on veut avancer sur les retraites, il faut passer par la case travail »

Alors que la bataille à laquelle se livrent l’exécutif et les députés sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale bat son plein à l’Assemblée nationale, les partenaires sociaux se réunissent ce matin pour la première plénière de la conférence sur les retraites. Souhaitée par Sébastien Lecornu, le ministre du Travail et des Solidarités Jean-Pierre Farandou y voit une « démarche moderne et inédite », souhaitant replacer le travail au cœur des débats.

Le