Algérie : « Le temps de la repentance est fini » juge Brice Hortefeux
Le président de la République se rendra en Algérie, ce mercredi. Invité de Territoires d’Infos, l’eurodéputé estime que la France n’a pas à se repentir vis-à-vis de son passé impérialiste. Brice Hortefeux considère par ailleurs que la colonisation « a aussi eu des aspects positifs pour les pays concernés. »

Algérie : « Le temps de la repentance est fini » juge Brice Hortefeux

Le président de la République se rendra en Algérie, ce mercredi. Invité de Territoires d’Infos, l’eurodéputé estime que la France n’a pas à se repentir vis-à-vis de son passé impérialiste. Brice Hortefeux considère par ailleurs que la colonisation « a aussi eu des aspects positifs pour les pays concernés. »
Public Sénat

Par Héléna Berkaoui

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Invité de Territoires d’Infos ce mardi, Brice Hortefeux (LR) s’est exprimé sur la visite d’Emmanuel Macron en Algérie, prévue demain. Il y a un an, le président de la République avait qualifié la colonisation de crime contre l’humanité. Une déclaration qui avait provoqué la colère de la droite et de l’extrême-droite. « Une formule malheureuse » pour Brice Hortefeux, qui estime par ailleurs que « le temps de la repentance est fini. »

Algérie : Brice Hortefeux espère « un renforcement des partenariats économiques et culturelles »
00:51

Brice Hortefeux juge qu’on « a dit ce qu’il y avait dire sur la colonisation. » Selon lui, la colonisation présente « des aspects, bien sûr, négatifs », mais il considère également qu’il « y a eu aussi des aspects positifs pour les pays concernés. » Un point de vue qui ne date pas d’hier, puisqu’en 2005 une loi portée par sa famille politique visait déjà à faire en sorte que « les programmes scolaires reconnaissent le rôle positif de la présence française outre-mer, notamment en Afrique du Nord. »

Partager cet article

Dans la même thématique

Algérie : « Le temps de la repentance est fini » juge Brice Hortefeux
3min

Politique

Nouvelle-Calédonie : le sénateur indépendantiste Robert Xowie dénonce la « méthode à marche forcée de l’Etat »

Le 8 décembre, les élus du Congrès de Nouvelle-Calédonie ont donné un avis favorable à la tenue d’une « consultation anticipée » sur l’accord de Bougival. Mais plus de la moitié des votants se sont abstenus ou se sont opposés à la mesure. Le sénateur indépendantiste, Robert Xowie a demandé au gouvernement de renoncer à cette consultation « qui risquerait d’aggraver la crise et d’accentuer les divisions ».

Le