Antispécistes: Jadot (EELV) dénonce « des crétins » qui s’attaquent aux boucheries
La tête de liste écologiste pour les européennes Yannick Jadot (EELV) a condamné vendredi "sans ambiguïté" les attaques de...

Antispécistes: Jadot (EELV) dénonce « des crétins » qui s’attaquent aux boucheries

La tête de liste écologiste pour les européennes Yannick Jadot (EELV) a condamné vendredi "sans ambiguïté" les attaques de...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Mis à jour le

La tête de liste écologiste pour les européennes Yannick Jadot (EELV) a condamné vendredi "sans ambiguïté" les attaques de boucheries perpétrées par des activistes vegan qu'il a qualifiés de "crétins".

"Oui, je les condamne sans ambiguïté (les violences). Pour moi, ce sont aujourd'hui essentiellement des crétins qui sont en train de remettre en cause le combat ô au combien légitime et important contre la souffrance animale", a expliqué l'élu écologiste sur France Info.

Le député européen réagissait à la multiplication d'actes de vandalisme contre des boucheries et commerces de bouche tagués de revendications antispécistes par des activistes opposés à toute hiérarchie entre les espèces, et qui prônent une alimentation végétalienne.

"Moi, je veux une agriculture qui respecte les paysans, les animaux, l'environnement et notre alimentation. Et ce modèle-là, il existe et c'est celui que je veux mettre au coeur des politiques publiques", a expliqué l'élu après avoir dénoncé l'existence "d'élevages concentrationnaires qui nient la vie, la sensibilité des animaux".

Interrogé sur le slogan "la viande est un meurtre" tagué par des activistes sur la façade de boucheries, le militant écologiste a expliqué avoir personnellement "réduit sa consommation de viande parce que c'est meilleur pour la santé et pour le climat".

"Mais encore une fois, a-t-il insisté, je ne soutiens pas une seconde ces actions".

Partager cet article

Dans la même thématique

Antispécistes: Jadot (EELV) dénonce « des crétins » qui s’attaquent aux boucheries
7min

Politique

Le Sénat allège l’effort demandé aux collectivités via le Dilico, système d’« infantilisation des élus », dénonce la gauche

Issu d’une idée de la majorité sénatoriale l’an dernier, le Dilico est un « système d’épargne forcée » qui permet de faire contribuer les collectivités à l’effort d’économies. Dénoncé avec force par la gauche et une partie du centre et de la droite, le dispositif a été revu, après des débats parfois tendus, pour ramener la ponction de 2 milliards à 890 millions d’euros.

Le