Asselineau voit Mélenchon comme un « Tsipras français »
François Asselineau, candidat de l'UPR à l'élection présidentielle, a qualifié jeudi le candidat de La France insoumise Jean-Luc...

Asselineau voit Mélenchon comme un « Tsipras français »

François Asselineau, candidat de l'UPR à l'élection présidentielle, a qualifié jeudi le candidat de La France insoumise Jean-Luc...
Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

François Asselineau, candidat de l'UPR à l'élection présidentielle, a qualifié jeudi le candidat de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon de "Tsipras français", qui ne pourra pas renégocier les traités européens.

"On ne peut pas réformer concrètement les traités européens. Bien sûr, on pourrait formellement le faire, ça n'est pas interdit, mais il faut l'accord unanime des 27 autres Etats", a jugé M. Asselineau.

"Il faut 56 accords unanimes. Ca ne peut pas fonctionner", a-t-il poursuivi.

Le candidat a ensuite ironisé sur la volonté de M. Mélenchon de renégocier ces traités: "Jean-Luc Mélenchon sait très bien que ce n'est pas vrai, il ment aux Français comme Mme Le Pen, qui propose aussi de renégocier les traités", a-t-il critiqué.

"Il commence à y avoir des pourparlers avec M. Hamon". M. Hamon, c'est un ultra-européiste. Ca veut dire que, forcément, parmi les électeurs de M. Mélenchon, il y aura des cocus, excusez-moi. Et on voit très bien où ça va pencher. Mélenchon, c'est le Tsipras français", a-t-il encore dénoncé.

Dans la même thématique

Asselineau voit Mélenchon comme un « Tsipras français »
3min

Politique

Un an après la dissolution : « Les Français ont le sentiment que la France fait la planche » selon le politologue Brice Teinturier

Un an après la dissolution voulue par Emmanuel Macron, le paysage politique français semble avoir évolué vers un blocage institutionnel. A l’Assemblée, l’absence de majorité empêche les textes d’être votés. Pire, des motions permettent d’enjamber l’examen à l’Assemblée pour que le débat soit tranché en commission mixte paritaire. Comment la dissolution a-t-elle modifié le fonctionnement des institutions ? C’est la question à laquelle répondent les invités de Rebecca Fitoussi et Jean-Pierre Gratien dans cette émission spéciale sur la dissolution, un an après.

Le

Asselineau voit Mélenchon comme un « Tsipras français »
4min

Politique

Un an après la dissolution, Gérard Larcher estime que « c'est la présidentielle qui redonnera le nouveau souffle dont nous avons besoin »

Invité de Public Sénat ce vendredi 6 juin, le président du Sénat est longuement revenu sur la situation du pays. À ses yeux, seule la prochaine présidentielle permettra de mettre fin au blocage politique lié à la dissolution. Evoquant également l’urgence budgétaire, il estime que « l’année blanche est une piste sérieuse ».

Le

SIPA_01204192_000001
6min

Politique

Olivier Faure à la tête du PS : « Ce que va montrer le congrès de Nancy, c’est la faiblesse du parti »

Après sa réélection de justesse à la tête du PS, le plus dur commence pour Olivier Faure. Le premier secrétaire va avoir la lourde tâche d’unir un parti divisé, de conserver ses principaux bastions socialistes aux prochaines municipales ou encore de fixer une stratégie pour une candidature crédible à la prochaine présidentielle. Analyse du politiste Pierre-Nicolas Baudot et de l’historien, Alain Bergougnioux.

Le