Attentat de Nice: la France distinguera ceux qui sont intervenus, promet Hollande
Des policiers municipaux sur la Promenade des Anglais, à Nice le 25 juillet 2016 AFP/Archives La France récompensera les mérites de ceux, policiers et civils, qui sont intervenus pour secourir et sécuriser le soir de l’attentat du 14 juillet à Nice, affirme le président François Hollande dans un courrier au député Eric Ciotti, diffusé vendredi. […]
Des policiers municipaux sur la Promenade des Anglais, à Nice le 25 juillet 2016
AFP/Archives
La France récompensera les mérites de ceux, policiers et civils, qui sont intervenus pour secourir et sécuriser le soir de l'attentat du 14 juillet à Nice, affirme le président François Hollande dans un courrier au député Eric Ciotti, diffusé vendredi.
"J'ai demandé que me soient adressées dans les meilleurs délais les listes de ceux, fonctionnaires ou simples citoyens, qui sont intervenus pour sécuriser ou secourir le soir du 14 juillet à Nice, de sorte à pouvoir récompenser leurs mérites et leur courage", écrit le chef de l'Etat dans cette lettre rendue publique par les services de l'élu (LR) des Alpes-Maritimes.
"La nation leur marquera sa reconnaissance au travers des différentes distinctions créées pour cela", précise le président.
Après l'attentat terroriste qui a fait 85 morts sur la promenade des Anglais, M. Ciotti avait écrit à François Hollande pour souligner la bravoure de policiers et civils présents sur place. Il avait formé le voeu qu'ils soient nommés dans les ordres de la Légion d'honneur et du Mérite national.
Sénateur de la Drôme pendant 10 ans, ministre de l’Agriculture et récemment nommé ministre d’Etat à Monaco, Didier Guillaume est décédé ce 17 janvier. La classe politique lui rend hommage. Patrick Kanner, qui lui a succédé à la présidence du groupe socialiste en 2018, se dit « sous le choc ».
Jeudi, à l’Assemblée nationale, le Parti socialiste s’est démarqué du reste des formations politiques qui composent le Nouveau Front Populaire en choisissant de ne pas voter la censure du gouvernement Bayrou, provoquant l’ire des Insoumis qui semblent les exclure de fait du NFP.
Alors que le « conclave » des partenaires sociaux sur la réforme des retraites s’ouvre ce vendredi, Jérôme Guedj pose les conditions d’une censure des socialistes à la suite des négociations. Pour le député, la question de l’âge légal reste « la clé de voute » du débat. Si le Premier ministre ne propose pas au Parlement de revenir dessus, il risque la censure.
Quelques heures avant le vote de la motion de censure à l’Assemblée nationale, François Bayrou a écrit aux deux présidents des groupes parlementaires socialistes. Dans ce courrier, le Premier ministre confirme certaines avancées obtenues ces derniers jours par le PS.