Audiovisuel public : « Il y a un gros travail à faire » estime Catherine Morin-Desailly
Catherine Morin-Desailly, présidente de  la commission de la culture et Jean-Pierre Leleux, rapporteur pour avis des crédits de l’audiovisuel, ont fait un point d’étape, concernant leurs travaux sur l’avenir de l’audiovisuel public.

Audiovisuel public : « Il y a un gros travail à faire » estime Catherine Morin-Desailly

Catherine Morin-Desailly, présidente de  la commission de la culture et Jean-Pierre Leleux, rapporteur pour avis des crédits de l’audiovisuel, ont fait un point d’étape, concernant leurs travaux sur l’avenir de l’audiovisuel public.
Public Sénat

Par Public Sénat (sujet Aurélien Develay)

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

La commission de la culture du Sénat, sous la houlette de sa présidente, Catherine Morin-Desailly, est revenue ce jeudi, sur leur colloque de juillet dernier, intitulé « Comment réenchanter l’audiovisuel public à l’heure du numérique ? ». Elle y fait le constat que l’audiovisuel public français est à la traîne et l’encourage à moderniser ses programmes et multiplier ses supports d’accès.

 « La télévision publique doit toucher tous les publics » estime Catherine Morin-Desailly, également sénatrice (UC) de Seine-Maritime. « Cela veut dire qu’il faut être dans une logique de l’offre, qui correspond aussi aux nouveaux usages, entraînés par la mutation numérique (…) Et là, il y a un gros travail à faire. »

La commission s’est également penchée sur la question de la redevance, qui fait toujours débat. Jean-Pierre Leleux, rapporteur pour avis des crédits de l’audiovisuel et sénateur (LR) des Alpes-Maritimes a expliqué la position de la commission : « Nous proposons une réforme qui touche l’ensemble des écrans. C'est-à-dire une réforme qui soit familiale, par foyer, à l’allemande. »

Partager cet article

Dans la même thématique

Mericourt: Emmanuel Macron meets with  readers of the Ebra group,
11min

Politique

Face aux fake news, comment l’Elysée a opéré un « virage » dans sa communication

Suite aux « fausses informations » relayées sur le sujet de la « labellisation » des médias, l’Elysée a décidé de vite les démentir, via une vidéo sur X. Une nouvelle stratégie de communication, à l’œuvre depuis quelques mois, déjà observée lors d’une prétendue prise de cocaïne par Emmanuel Macron. Lui-même « victime » des affres des réseaux avec l’infox Jean-Michel Trogneux, il est d’autant plus sensibilisé à cet enjeu démocratique.

Le