Baupin regrette la prescription de certains faits
Denis Baupin regrette que la prescription de certains faits, qui lui étaient reprochés dans l'enquête le visant pour agressions...

Baupin regrette la prescription de certains faits

Denis Baupin regrette que la prescription de certains faits, qui lui étaient reprochés dans l'enquête le visant pour agressions...
Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Denis Baupin regrette que la prescription de certains faits, qui lui étaient reprochés dans l'enquête le visant pour agressions sexuelles et a conduit le parquet de Paris à prononcer un "classement sans suite, "constitue une entrave au rétablissement de la vérité", a-t-on appris auprès de son avocat.

M. Baupin déplore que "la prescription s'appliquant à certaines des accusations constitue une entrave au rétablissement de la vérité alors même que son nom et son honneur ont été bafoués", a indiqué son avocat Me Emmanuel Pierrat dans un communiqué. Un peu plus tôt, le parquet de Paris avait annoncé que l'enquête visant le député écologiste était classée sans suite "pour prescription" même si certains faits étaient "susceptibles d'être qualifiés pénalement".

Partager cet article

Dans la même thématique

Baupin regrette la prescription de certains faits
4min

Politique

Budget 2026 : le Sénat vote les crédits en hausse pour lutter contre l’immigration illégale

Lundi matin, le Sénat a adopté la mission « Immigration, asile et intégration » du projet de loi de finances pour 2026, avec des crédits en hausse de 80 millions par rapport à l’année dernière pour atteindre 2,16 milliards d’euros. Une enveloppe destinée à mettre en œuvre l’application du Pacte Asile et immigration, et le doublement de la capacité des centres de rétention administrative (CRA) à 3 000 places en 2029. La gauche a dénoncé le manque de moyens pour l’intégration.

Le

5min

Politique

Conférence Travail et Retraites : « Si on veut avancer sur les retraites, il faut passer par la case travail »

Alors que la bataille à laquelle se livrent l’exécutif et les députés sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale bat son plein à l’Assemblée nationale, les partenaires sociaux se réunissent ce matin pour la première plénière de la conférence sur les retraites. Souhaitée par Sébastien Lecornu, le ministre du Travail et des Solidarités Jean-Pierre Farandou y voit une « démarche moderne et inédite », souhaitant replacer le travail au cœur des débats.

Le