Benalla: « rien ne (me) troublera », déclare Macron
"Il y a un président de la République qui est au travail, qui continue et que rien ne troublera", a déclaré Emmanuel Macron,...

Benalla: « rien ne (me) troublera », déclare Macron

"Il y a un président de la République qui est au travail, qui continue et que rien ne troublera", a déclaré Emmanuel Macron,...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Mis à jour le

"Il y a un président de la République qui est au travail, qui continue et que rien ne troublera", a déclaré Emmanuel Macron, interrogé jeudi à Madrid sur les conséquences de l'affaire Benalla.

"Tout ça est quand même beaucoup une tempête dans un verre d'eau", a estimé le chef de l'Etat, en reprenant une formule utilisée plus tôt dans les Hautes-Pyrénées.

"Il s'est passé quelque chose de tout à fait sérieux qui a donné lieu à une réponse immédiate et proportionnée (...) Il y a eu un emballement par voie de presse", a-t-il détaillé devant la presse à l'issue d'un entretien avec le chef du gouvernement espagnol Pedro Sanchez.

"Je considère que les collaborateurs de l'Elysée ont fait leur travail comme ils le devaient", a-t-il poursuivi, en évoquant les sanctions prises à l'encontre d'Alexandre Benalla, chargé de mission sur la sécurité à l'Elysée qui a été mis en examen pour avoir malmené et frappé deux manifestants le 1er mai.

"Ce qui m'importe, c'est qu'une loi sur la formation professionnelle ait pu être votée, que la loi asile et immigration est en train d'être votée... Et nous allons poursuivre les transformations pour le pays (...) C'est ça qui est utile à la France et à nos concitoyens", a-t-il conclu.

Partager cet article

Dans la même thématique

Mericourt: Emmanuel Macron meets with  readers of the Ebra group,
11min

Politique

Face aux fake news, comment l’Elysée a opéré un « virage » dans sa communication

Suite aux « fausses informations » relayées sur le sujet de la « labellisation » des médias, l’Elysée a décidé de vite les démentir, via une vidéo sur X. Une nouvelle stratégie de communication, à l’œuvre depuis quelques mois, déjà observée lors d’une prétendue prise de cocaïne par Emmanuel Macron. Lui-même « victime » des affres des réseaux avec l’infox Jean-Michel Trogneux, il est d’autant plus sensibilisé à cet enjeu démocratique.

Le