Politique
Auditionné par la commission d’enquête du Sénat sur les agences publiques, Sylvain Waserman, président d’Ademe a défendu le budget et l’existence de son agence, faisant écho aux critiques faites par plusieurs politiques de droite.
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Par Héléna Berkaoui
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Au micro de Public Sénat, le sénateur des Français de l’étranger, Jean-Yves Leconte explique le contenu de la rencontre avec Michel Barnier. Le négociateur en chef de l’Union européenne sur le Brexit s’est entretenu avec les sénateurs, ce jeudi. Alors qu’un nouveau cycle de négociations sur l’avenir des relations entre le Londres et les vingt-sept débute le 14 décembre prochain au Conseil européen, il n’y a aucune certitude d’obtenir un accord. « Le no deal semble sur la table plus que jamais » confirme Jean-Yves Leconte. Vendredi dernier, Michel Barnier a demandé aux Britanniques de lui fournir d’ici deux semaines des clarifications sur les engagements financiers. Le ministre britannique chargé du Brexit a répondu qu’il ne présenterait pas de chiffres, ni de formule sur ce qu’il estime devoir à l’Union européenne.
« Le Brexit est moins important que l’avenir de l’Union européenne »
Est-ce que le Brexit peut représenter une opportunité économique pour la France ? « Si finalement le Brexit c’est une démonstration par l’absurde qu’il faut continuer à renforcer les politiques européennes, à expliquer plus l’Europe aux citoyens, alors oui c’est une opportunité pour l’ensemble de l’Union européenne » répond le sénateur des Français de l’étranger. Néanmoins il souligne que le Royaume-Uni est un « de nos principaux pays acheteurs et nous n’avons pas du tout intérêt à ce qu’une économie aussi proche de la nôtre décline. »
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