Cantat : La une des Inrocks « mériterait des excuses » selon Laurence Rossignol
Invitée de l’émission « On va plus loin », l’ancienne ministre des droits des femmes Laurence Rossignol, a commenté la une des Inrocks consacrée au chanteur Bertrand Cantat, estimant qu’elle était « indécente » et « mériterait des excuses ».  

Cantat : La une des Inrocks « mériterait des excuses » selon Laurence Rossignol

Invitée de l’émission « On va plus loin », l’ancienne ministre des droits des femmes Laurence Rossignol, a commenté la une des Inrocks consacrée au chanteur Bertrand Cantat, estimant qu’elle était « indécente » et « mériterait des excuses ».  
Public Sénat

Par Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Laurence Rossignol, sénatrice (PS) de l’Oise et ancienne ministre des droits des femmes, a réagi à la couverture des Inrocks consacrée à l’ancien leader de Noir Désir, après avoir tweeté le matin même sur le sujet :

« Je suis étonnée de la complaisance qui existe à l’égard des artistes lorsqu’il s’agit de violences sexuelles à l’encontre des femmes, lorsqu’il s’agit de crime, comme en l’espèce. Comme si le génie créatif d’un certain point de vue devait passer devant les crimes et les infractions » estime la sénatrice.  Et d’ajouter :

« Je pense qu’il faut ramener ces génies créatifs dans le droit commun et dans la décence. Et je trouve que la une des Inrocks est indécente et elle mériterait des excuses des Inrocks auprès de la famille Trintignant ».

Partager cet article

Dans la même thématique

5min

Politique

Conférence Travail et Retraites : « Si on veut avancer sur les retraites, il faut passer par la case travail »

Alors que la bataille à laquelle se livrent l’exécutif et les députés sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale bat son plein à l’Assemblée nationale, les partenaires sociaux se réunissent ce matin pour la première plénière de la conférence sur les retraites. Souhaitée par Sébastien Lecornu, le ministre du Travail et des Solidarités Jean-Pierre Farandou y voit une « démarche moderne et inédite », souhaitant replacer le travail au cœur des débats.

Le