Castaner: « Il ne saurait être question » de la démission de Ferrand

Castaner: « Il ne saurait être question » de la démission de Ferrand

Le porte-parole du gouvernement Christophe Castaner a déclaré mercredi qu'"il ne saurait être question" de la démission de...
Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Le porte-parole du gouvernement Christophe Castaner a déclaré mercredi qu'"il ne saurait être question" de la démission de Richard Ferrand, le ministre de la Cohésion des territoires au coeur d'une affaire immobilière révélée par Le Canard enchaîné.

"Sur la question de démissionner, la question ne s'est pas posée", "il ne saurait être question de sa démission", a déclaré M. Castaner lors du compte-rendu du Conseil des ministres, évoquant "un acte qui n'est pas délictuel ni pénal".

Dans la même thématique

Castaner: « Il ne saurait être question » de la démission de Ferrand
6min

Politique

Agences de l’état : Laurent Marcangeli ne veut pas fixer d’objectif chiffré pour éviter la « formation d’anticorps »

Auditionné par la commission d’enquête du Sénat sur les agences de l’Etat, Laurent Marcangeli est revenu sur la méthode du gouvernement pour « simplifier » l’écosystème des agences et opérateurs de l’Etat. Les plans ministériels devraient être finalisés à la mi-juin et ce travail pourrait donner lieu à un projet de loi, voire une proposition de loi, a annoncé le ministre de la Fonction publique.

Le

Castaner: « Il ne saurait être question » de la démission de Ferrand
7min

Politique

Présidence des LR : Laurent Wauquiez cible le « en même temps » de Bruno Retailleau

A 10 jours de l’élection du président des Républicains, Laurent Wauquiez laboure les terres de la droite pour aller chercher une victoire face au favori, Bruno Retailleau. Ce mercredi, dans un restaurant du XVe arrondissement de Paris, le chef de file des députés de droite a présenté sa candidature « de rupture » avec le pouvoir en place. Membre du gouvernement, l’élection de Bruno Retailleau à la tête des LR ferait prendre le risque, selon lui, d’une dilution de la droite dans le macronisme.

Le