Si le score de LREM s’annonce décevant (moins de 30 sénateurs), François Patriat y voit une raison simple : « À partir du moment où la droite a gagné les municipales, c’est normal que ça se traduise aujourd’hui au Sénat par un gain en nombre de sénateurs. C’est mécanique ». Pour autant, François Patriat estime que dorénavant la majorité se constituera « texte par texte » avant d’ajouter que « ce n’était pas le rôle du Sénat d’être un contre-pouvoir ». « La France a besoin d’un maximum de forces pour pouvoir se réformer et l’idée d’un contre-pouvoir n’est pas forcément très efficace pour l’avenir de notre pays » a-t-il conclu.