Chantal Jouanno annonce qu’elle se retire du « grand débat national »

Chantal Jouanno annonce qu’elle se retire du « grand débat national »

La présidente de la Commission nationale du débat public (CNDP), Chantal Jouanno, a annoncé mardi soir son retrait du "grand...
Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

La présidente de la Commission nationale du débat public (CNDP), Chantal Jouanno, a annoncé mardi soir son retrait du "grand débat national" destiné à sortir de la crise des "gilets jaunes", après la polémique suscitée par son salaire.

"J'ai décidé de me retirer du pilotage de ce débat", a déclaré l'ancienne ministre au journal de France 2, estimant que les débats nés sur son niveau de salaire (14.666 euros) était "légitimes" mais que les "conditions de sérénité nécessaires pour ce débat" n'étaient pas assurées. "C'est une décision que j'ai prise parce que je crois en ce débat (...) plus que nécessaire", a-t-elle poursuivi, précisant qu'elle ne quittait pas pour autant la présidence de la CNDP.

Dans la même thématique

Chantal Jouanno annonce qu’elle se retire du « grand débat national »
6min

Politique

Agences de l’état : Laurent Marcangeli ne veut pas fixer d’objectif chiffré pour éviter la « formation d’anticorps »

Auditionné par la commission d’enquête du Sénat sur les agences de l’Etat, Laurent Marcangeli est revenu sur la méthode du gouvernement pour « simplifier » l’écosystème des agences et opérateurs de l’Etat. Les plans ministériels devraient être finalisés à la mi-juin et ce travail pourrait donner lieu à un projet de loi, voire une proposition de loi, a annoncé le ministre de la Fonction publique.

Le

Chantal Jouanno annonce qu’elle se retire du « grand débat national »
7min

Politique

Présidence des LR : Laurent Wauquiez cible le « en même temps » de Bruno Retailleau

A 10 jours de l’élection du président des Républicains, Laurent Wauquiez laboure les terres de la droite pour aller chercher une victoire face au favori, Bruno Retailleau. Ce mercredi, dans un restaurant du XVe arrondissement de Paris, le chef de file des députés de droite a présenté sa candidature « de rupture » avec le pouvoir en place. Membre du gouvernement, l’élection de Bruno Retailleau à la tête des LR ferait prendre le risque, selon lui, d’une dilution de la droite dans le macronisme.

Le