Com’Une image, un boxeur à Matignon : un ancien champion décrypte « le crochet du droit » d’Édouard Philippe.
« Quand j’étais petit, j’étais plutôt maigrelet, je n’aimais pas la castagne, j’essayais plutôt de négocier les trucs pour que ça se passe pas trop mal… ».C’est ainsi qu’Édouard Philippe se décrit quand il évoque l’une de ses passions depuis quelques années : la boxe.Un sport qui n’est donc pas un sport de brute et qui rend humble selon le Premier Ministre. Un sport qui permet également d’évacuer le stress de la vie politique, selon Jean-Marc Mormeck, ancien champion de boxe devenu délégué interministériel qui commente les images du chef du gouvernement les gants aux poings.

Com’Une image, un boxeur à Matignon : un ancien champion décrypte « le crochet du droit » d’Édouard Philippe.

« Quand j’étais petit, j’étais plutôt maigrelet, je n’aimais pas la castagne, j’essayais plutôt de négocier les trucs pour que ça se passe pas trop mal… ».C’est ainsi qu’Édouard Philippe se décrit quand il évoque l’une de ses passions depuis quelques années : la boxe.Un sport qui n’est donc pas un sport de brute et qui rend humble selon le Premier Ministre. Un sport qui permet également d’évacuer le stress de la vie politique, selon Jean-Marc Mormeck, ancien champion de boxe devenu délégué interministériel qui commente les images du chef du gouvernement les gants aux poings.
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Par Caroline Lebrun

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« C’est un déstressant » affirme Jean-Marc Mormeck, double champion du monde travaillant aujourd’hui auprès d’Édouard Philippe et de ses ministres.

Concernant le Premier Ministre, « on voit bien qu’il y a des échanges mais que c’est maîtrisé, son intégrité n’en prend pas un coup, il ne sera pas marqué demain ».

 

Mais alors, pourquoi pratiquer la boxe quand on est un politique et peut-on y voir une métaphore de la fonction ? Prendre des coups, en recevoir, esquiver aussi… Pour l’ex-champion, aucun doute, «il faut avoir de la vigilance, la garder, être attentif, comme en politique ! Vous y mettez toute votre énergie et votre concentration ».

 

L’humilité que revendique le Premier Ministre peut donc également s’expliquer par sa pratique de la boxe : « Ça rend humble [souligne Jean-Marc Mormeck],  quand vous vous relevez, vous devez reconnaître votre adversaire comme vainqueur et le féliciter ».

Alors, si pour l’instant Édouard Philippe semble éviter les KO politiques, il ne doit pas pour autant baisser sa garde...

 

Retrouvez l’émission Déshabillons-les : « Matignon, le style Philippe » samedi 3 février à 15h sur Public Sénat.

Edouard Philippe avec des gants de boxe
Hélène Valenzuela

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