Coronavirus : Bruno Retailleau demande un débat au Sénat

Coronavirus : Bruno Retailleau demande un débat au Sénat

Le président du groupe Les Républicains au Sénat, Bruno Retailleau, a demandé mercredi l’organisation d’un débat dans l’hémicycle de la haute assemblée sur « l’épidémie de coronavirus » qui a fait un premier mort français et se propage dans de nouveaux pays. Dans un courrier adressé au président du Sénat Gérard Larcher (LR), M. Retailleau souhaite l’inscription à l’ordre du […]
Public Sénat

Par AFP

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Mis à jour le

Le président du groupe Les Républicains au Sénat, Bruno Retailleau, a demandé mercredi l'organisation d'un débat dans l'hémicycle de la haute assemblée sur "l'épidémie de coronavirus" qui a fait un premier mort français et se propage dans de nouveaux pays.

Dans un courrier adressé au président du Sénat Gérard Larcher (LR), M. Retailleau souhaite l'inscription à l'ordre du jour d'un débat sur l'épidémie, "les conséquences de sa propagation mondiale et les mesures envisagées pour protéger la population française".

Le chef de file LR propose de tenir ce débat lors de la "semaine de contrôle" du Sénat, à partir du 23 mars, après la suspension des travaux en séance publique du fait des élections municipales.

M. Retailleau participera jeudi à la réunion à laquelle le Premier ministre a convié les chefs de partis représentés au Parlement, les présidents de groupes parlementaires et les présidents d'assemblées, afin de faire un point sur la situation liée à l'épidémie de nouveau coronavirus.

"Nous avons fait le choix de la transparence, de la vérité", a déclaré à la presse Marc Fesneau, le ministre chargé des Relations avec le Parlement, à l'issue de la séance de questions d'actualité au gouvernement.

Partager cet article

Dans la même thématique

Paris : session of questions to the government at the Senate
9min

Politique

Face à un « budget cryptosocialiste », la majorité sénatoriale veut « éradiquer tous les impôts » votés par les députés

Ils vont « nettoyer » le texte, le « décaper ». Les sénateurs de droite et du centre attendent de pied ferme le budget 2026 et le budget de la Sécu. Après avoir eu le sentiment d’être mis à l’écart des discussions, ils entendent prendre leur revanche, ou du moins défendre leur version du budget : plus d’économies et faire table rase des impôts votés par les députés.

Le

Marseille: Amine Kessaci candidate
4min

Politique

Assassinat du frère d’Amine Kessaci : le militant écologiste engagé contre le narcotrafic était « sous protection policière et exfiltré de Marseille depuis un mois »

Le petit frère d’Amine Kessaci, jeune militant écologiste marseillais, connu pour son combat contre le narcotrafic, a été tué par balles jeudi soir à Marseille. L’hypothèse d’un assassinat d’avertissement est privilégiée et pourrait faire basculer la France un peu plus vers ce qui définit les narco Etats. C’est ce que craignaient les sénateurs de la commission d’enquête sur le narcotrafic. Le sénateur écologiste de Marseille Guy Benarroche, proche d’Amine Kessaci a pu s’entretenir avec lui, ce matin.

Le

Coronavirus : Bruno Retailleau demande un débat au Sénat
2min

Politique

Assassinat du petit frère d’Amine Kessaci : revoir le documentaire sur le combat contre le narcotrafic du militant marseillais 

Mehdi, le petit frère d’Amine Kessaci, jeune militant écologiste marseillais, connu pour son combat contre le narcotrafic, a été tué par balles jeudi soir à Marseille. En 2020, c’est l’assassinat de son grand frère Brahim, qui avait conduit le jeune garçon à s’engager en politique. Son parcours est le sujet du documentaire « Marseille, des larmes au combat », Anaïs Merad, à revoir sur Public Sénat.

Le

Coronavirus : Bruno Retailleau demande un débat au Sénat
3min

Politique

Projet de loi anti-fraudes : « C’est un objet politique qui vise essentiellement à montrer du doigt la fraude sociale »

Invités sur le plateau de Parlement Hebdo, le sénateur Bernard Jomier (Place Publique) et le député Sylvain Berrios (Horizons) sont revenus sur le projet de loi pour lutter contre les fraudes fiscales et sociales, examiné par la Chambre haute depuis mercredi. La majorité rassemblant les élus de la droite et du centre au Sénat ont affermi le texte en commission, y ajoutant une batterie de mesures qui ne fait pas consensus.

Le