Coronavirus: décès de l’ex-ministre Patrick Devedjian
Le président du conseil départemental des Hauts-de-Seine et ancien ministre de Nicolas Sarkozy Patrick Devedjian (LR) est décédé...

Coronavirus: décès de l’ex-ministre Patrick Devedjian

Le président du conseil départemental des Hauts-de-Seine et ancien ministre de Nicolas Sarkozy Patrick Devedjian (LR) est décédé...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Mis à jour le

Le président du conseil départemental des Hauts-de-Seine et ancien ministre de Nicolas Sarkozy Patrick Devedjian (LR) est décédé dans la nuit de samedi à dimanche des suites du coronavirus, a annoncé à l'AFP son service de presse.

Diagnostiqué positif au Covid-19, l'homme politique de 75 ans avait été placé en observation mercredi dans un hôpital du département.

Jeudi, il avait indiqué dans un tweet être "touché par l'épidémie, donc à même de témoigner directement du travail exceptionnel des médecins et de tous les personnels soignants". "Fatigué mais stabilisé grâce à eux, je remonte la pente et leur adresse un très grand merci pour leur aide constante à tous les malades", ajoutait-il.

Gérard Larcher, président du Sénat a aussitôt réagi sur Twitter: "Grande tristesse d'apprendre la mort de Patrick Devedjian. Homme courageux et totalement dévoué à sa ville d'Antony et aux Hauts-de-Seine. Condoléances à sa famille et à ses équipes".

Avocat de profession, Patrick Devedjian a été député de la 13e circonscription des Hauts-de-Seine de 1986 à 2017, maire d'Antony de 1983 à 2002 et élu conseiller départemental en 2004. Il présidait le département depuis 2007.

Il fut également porte-parole du RPR de 1999 à 2001 et secrétaire général de l'UMP de 2007 à 2008 et occupa plusieurs fonctions gouvernementales.

Marié, il avait quatre enfants.

Partager cet article

Dans la même thématique

Mericourt: Emmanuel Macron meets with  readers of the Ebra group,
11min

Politique

Face aux fake news, comment l’Elysée a opéré un « virage » dans sa communication

Suite aux « fausses informations » relayées sur le sujet de la « labellisation » des médias, l’Elysée a décidé de vite les démentir, via une vidéo sur X. Une nouvelle stratégie de communication, à l’œuvre depuis quelques mois, déjà observée lors d’une prétendue prise de cocaïne par Emmanuel Macron. Lui-même « victime » des affres des réseaux avec l’infox Jean-Michel Trogneux, il est d’autant plus sensibilisé à cet enjeu démocratique.

Le