CTFC: Macron devra s’attacher à réduire les tensions
La CFTC a estimé lundi que le nouveau président, Emmanuel Macron, devra "réduire les tensions qui divisent" les Français,...

CTFC: Macron devra s’attacher à réduire les tensions

La CFTC a estimé lundi que le nouveau président, Emmanuel Macron, devra "réduire les tensions qui divisent" les Français,...
Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

La CFTC a estimé lundi que le nouveau président, Emmanuel Macron, devra "réduire les tensions qui divisent" les Français, considérant comme "urgente" la "construction d'un nouveau contrat social".

"En premier lieu", le nouveau président "devra s'attacher à comprendre puis réduire les multiples sources de tensions qui nous divisent", selon le syndicat.

"Mettre en place les conditions d'un dialogue apaisé et constructif avec chacune des composantes du pays constitue un prérequis pour mener à bien les réformes indispensables à la santé économique et sociale de la France, ajoute le syndicat qui juge "urgente" la "construction d'un nouveau contrat social qui garantisse à tous protection sociale et sécurisation des parcours de vie".

Les réformes envisagées par le nouveau président "ne seront acceptables et acceptées que si, et seulement si, le nouvel Exécutif respecte les fondements du dialogue social", prévient la CFTC.

Parmi ses premières mesures, Emmanuel Macron a prévu de réformer le droit du travail, en légiférant par ordonnances.

Partager cet article

Dans la même thématique

5min

Politique

Conférence Travail et Retraites : « Si on veut avancer sur les retraites, il faut passer par la case travail »

Alors que la bataille à laquelle se livrent l’exécutif et les députés sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale bat son plein à l’Assemblée nationale, les partenaires sociaux se réunissent ce matin pour la première plénière de la conférence sur les retraites. Souhaitée par Sébastien Lecornu, le ministre du Travail et des Solidarités Jean-Pierre Farandou y voit une « démarche moderne et inédite », souhaitant replacer le travail au cœur des débats.

Le