« Il faut prendre ce moment comme un moment de plaisir » explique l’ancien premier ministre, dont la campagne semble avoir du mal à décoller.
« Un moment durant lequel il faut être sérieux, mais c’est aussi un moment de privilège, car c’est rare de pouvoir parler à autant de nos compatriotes, et de les convaincre que je représente l’avenir et que je représente plus que jamais la possibilité de gagner. »
Malgré une campagne courte durant laquelle le premier débat peut être décisif, Manuel Valls pense toutefois qu’il n’y a pas de raison de « se mettre la pression ». « Il faut toujours être concentré, mais j’y viens avec du plaisir et de la volonté de convaincre ».