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C’est une figure imposée de la Vème République. Le secrétaire général de l’Elysée qui proclame la liste des ministres dans l’ordre protocolaire est un passage obligé pour un début de quinquennat. Le suspense a duré toute la semaine, depuis la nomination d’Elisabeth Borne lundi dernier, mais le nouveau gouvernement est maintenant connu depuis ce vendredi à 16h20, avec 17 ministres, 6 ministres délégués et 4 secrétaires d’Etat pour le moment nommés.
Avec 23 ministres, le gouvernement Borne compte déjà plus de membres que le gouvernement « resserré » de 15 ministres annoncés. Pour rappel, le gouvernement Jean Castex comptait 16 ministres et 15 ministres délégués. Côté parité, 8 ministres sur les 23 nommés aujourd’hui sont des femmes, ce qui est un peu compensé par les nominations de Secrétaires d’Etat, qui devraient être complétées la semaine prochaine, avec en tout 12 femmes sur les 27 membres que compte pour le moment le gouvernement.
Alexis Kohler a annoncé que le Président convoquerait un premier Conseil des ministres lundi 23 mai à 10h.
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La définition des séances de travail sur le budget 2026 a froissé le président du Sénat, mardi, lors d’une réunion avec les présidents de commission et le gouvernement. Il estime que le Sénat ne peut pas prendre le relais des textes budgétaires dans de bonnes conditions. Une nouvelle conférence des présidents doit revenir sur la question la semaine prochaine.
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Lundi, le Sénat examinera une proposition de loi de la droite et du centre visant à inscrire dans la Constitution que « nul individu ou nul groupe ne peut se prévaloir de son origine ou de sa religion pour s’exonérer du respect des règles applicables ». Un principe que la majorité sénatoriale remet à l’ordre du jour régulièrement ces dernières années par le dépôt de différents textes. On retrouve aussi la même idée dans un texte de Marine Le Pen.
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Au micro de Public Sénat et LCP, le sénateur RN Aymeric Durox annonce que sa famille politique votera en faveur de l’amendement de suppression de la réforme des retraites, qui doit être présenté par le gouvernement lors de l’examen du budget de la Sécu. Il émet toutefois de sérieuses réserves sur les chances d’aboutissement du texte au vu du contexte politique.
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Le 16 octobre 2020, le professeur d’histoire-géographie à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines) était assassiné par un jeune islamiste. Cinq ans après, « les choses ont avancé » juridiquement pour sa sœur Gaëlle, mais la laïcité et la liberté d’expression sont encore « en danger ».
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Rythmes scolaires et temps de l’enfant : l’éternel débat