Dupont-Aignan dénonce le « mépris » de Le Pen, Fillon, Macron et Mélenchon
Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout La France (DLF), a dénoncé jeudi le "mépris" de Marine Le Pen, Emmanuel Macron,...

Dupont-Aignan dénonce le « mépris » de Le Pen, Fillon, Macron et Mélenchon

Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout La France (DLF), a dénoncé jeudi le "mépris" de Marine Le Pen, Emmanuel Macron,...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout La France (DLF), a dénoncé jeudi le "mépris" de Marine Le Pen, Emmanuel Macron, François Fillon et Jean-Luc Mélenchon, qu'il a rendus responsables de la décision de France 2 de renoncer à son débat avec les 11 candidats le 20 avril.

"France Télévisions a tout fait sincèrement, mais M. Mélenchon, M. Macron, M. Fillon, Mme Le Pen, à l'exception de M. Hamon, je le reconnais, qui voulait le débat, ne veulent pas discuter, ne veulent pas répondre aux questions", a regretté M. Dupont-Aignan sur Sud Radio et Public Sénat.

Le député de l'Essonne a dénoncé "ce mépris, pas pour nous, pour moi, mais pour les Français". "Ces gens-là, et là ils apparaissent tels qu'ils sont, ne veulent pas se mêler au peuple. Ils n'aiment pas le peuple, ils le méprisent, ils ne le respectent plus".

"Ce refus de débattre est tout à fait symbolique de l'épuisement d'une classe politique qui ne supporte même plus qu'on lui pose une question", a fulminé M. Dupont-Aignan.

France 2 a renoncé à organiser un débat avec les onze candidats à la présidentielle, le 20 avril, et leur propose désormais onze interviews individuelles en direct, dont l'ordre serait déterminé par tirage au sort en début d'émission, ont indiqué les entourages de plusieurs candidats mercredi.

Mais plusieurs candidats ont émis des réserves sérieuses, ce qui donne peu de chances à l'événement de se tenir, selon ces sources.

Partager cet article

Dans la même thématique

Paris: Ouverture Shein magasin BHV
6min

Politique

Municipales 2026 : la gauche parisienne en quête d’union

À quatre mois des municipales, socialistes et écologistes s’enlisent dans des négociations aussi intenses que fragiles. Alors que Rachida Dati domine les sondages et impose un sentiment d’urgence, PS, PCF et EELV tentent d’arracher un accord de premier tour sans perdre la face. La gauche parisienne avance à pas comptés vers une union qui semble à la fois indispensable et désormais à portée de main.

Le

Dupont-Aignan dénonce le « mépris » de Le Pen, Fillon, Macron et Mélenchon
4min

Politique

Budget de la Sécu : « Tout ne nous satisfera pas, mais nous nous battons pour qu’il y ait le plus de mesures utiles », assure Emmanuel Grégoire

Invité de la matinale de Public Sénat, le député de Paris, Emmanuel Grégoire défend les négociations menées par le Parti socialiste avec le gouvernement sur le budget de la Sécurité sociale. Ce dernier croit à un la possibilité de nouer un compromis et de faire adopter le budget de la Sécu par l’Assemblée nationale.

Le

Dupont-Aignan dénonce le « mépris » de Le Pen, Fillon, Macron et Mélenchon
3min

Politique

Municipales à Paris : Rachida Dati « utilise à outrance son ministère pour l’instrumentaliser au service de la campagne », estime le candidat socialiste 

Invité de la matinale de Public Sénat, le candidat socialiste à la mairie de Paris, Emmanuel Grégoire, fustige la communication de Rachida Dati en vue des municipales. Il lui reproche notamment d’utiliser les moyens du ministère pour faire campagne. Le député de Paris affiche également sa confiance pour une union de la gauche, hors LFI, à Paris.

Le