Dupont-Aignan: »très choquant » qu’une banque veuille « mettre à mort » le FN
Le président de Debout la France, Nicolas Dupont-Aignan, a jugé dimanche "très choquant" qu'une banque "essaie de mettre à mort...

Dupont-Aignan: »très choquant » qu’une banque veuille « mettre à mort » le FN

Le président de Debout la France, Nicolas Dupont-Aignan, a jugé dimanche "très choquant" qu'une banque "essaie de mettre à mort...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Le président de Debout la France, Nicolas Dupont-Aignan, a jugé dimanche "très choquant" qu'une banque "essaie de mettre à mort un parti politique" après que la Société générale et HSBC ont clôturé les comptes du Front national.

"Je trouve très choquant qu’une banque essaie de mettre à mort un parti politique. Il y a un vrai problème de financement de la vie politique", a-t-il déclaré lors de l'émission "Dimanche en politique" sur France 3.

"Moi, j’ai financé ma campagne en ne dépensant pas plus que ce que j’avais par le biais des dons des militants, je n’ai pas de dette. Et d'ailleurs, un homme politique qui fait des dettes et dépasse 10 fois son plafond, ne peut pas gérer la France", a-t-il estimé.

A ses yeux, "l’argent pourrit la politique" et "beaucoup d’hommes politiques dépendent des forces de la finance".

Nicolas Dupont-Aignan "demande, comme l’avait fait M. (Benoît) Hamon" pendant la présidentielle, "que M. (Emmanuel) Macron publie la liste de ses donateurs pendant la campagne".

"La suppression de l’ISF, c’est le rendu de M. Macron à la finance", a-t-il encore accusé.

Partager cet article

Dans la même thématique

5min

Politique

Conférence Travail et Retraites : « Si on veut avancer sur les retraites, il faut passer par la case travail »

Alors que la bataille à laquelle se livrent l’exécutif et les députés sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale bat son plein à l’Assemblée nationale, les partenaires sociaux se réunissent ce matin pour la première plénière de la conférence sur les retraites. Souhaitée par Sébastien Lecornu, le ministre du Travail et des Solidarités Jean-Pierre Farandou y voit une « démarche moderne et inédite », souhaitant replacer le travail au cœur des débats.

Le