Elections sénatoriales 2023 : découvrez les nouveaux élus avec notre carte interactive
Ce dimanche 24 septembre ont lieu les élections sénatoriales. 170 sièges sont à pourvoir, soit la moitié de l’hémicycle. Retrouvez les résultats en temps réel avec notre carte qui s’actualise au fil de l’eau.
Les 170 sièges de la série 1 sont à pourvoir c’est-à-dire 38 départements de métropole : de l’Indre-et-Loire (37) aux Pyrénées-Orientales (66), ainsi que tous les départements d’Ile de France dont Paris. 4 départements d’Outre-Mer seront également renouvelés. Six des 12 sièges de sénateurs représentant les Français établis hors de France sont également remis en jeu. Les premiers résultats sont tombés, ceux des départements au scrutin majoritaire qui élisent 1 à 2 sénateurs. Retrouvez-les sur notre carte interactive ci-dessous.
Après l’adoption de la loi spéciale pour assurer la continuité de l’Etat, le gouvernement devra reprendre les débats au Parlement, début janvier, pour espérer faire adopter un budget pour l’année 2026. Une opération délicate dans un paysage politique fragmenté et avec un calendrier contraint.
A quelques mois des élections municipales de mars 2026, la Commission nationale des comptes de campagne et de financements politiques s’inquiète des risques de corruption liés au narcotrafic qui pourraient peser sur les scrutins, et les maires une fois élus.
Les promeneurs, touristes ou Parisiens qui déambulent sur le parvis de Notre-Dame, s’imaginent-ils qu’à quelques pas de là se dressait au Moyen Âge, l’une des plus somptueuses résidences d’Europe ? Et surtout, comment, six siècles plus tard, le tout premier palais de nos rois, bâti sur l’île de la Cité, au beau milieu de la capitale, a-t-il pu devenir ce fantôme de l’Histoire ? Dans son documentaire Le mystère du palais disparu, Stéphane Jacques retrace l’enquête menée par un trio de scientifiques spécialistes de la reconstitution numérique.
Suite aux « fausses informations » relayées sur le sujet de la « labellisation » des médias, l’Elysée a décidé de vite les démentir, via une vidéo sur X. Une nouvelle stratégie de communication, à l’œuvre depuis quelques mois, déjà observée lors d’une prétendue prise de cocaïne par Emmanuel Macron. Lui-même « victime » des affres des réseaux avec l’infox Jean-Michel Trogneux, il est d’autant plus sensibilisé à cet enjeu démocratique.