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Les élections sénatoriales du 24 septembre vont renouveler la moitié du Sénat et ponctuer cette rentrée politique. Découvrez les moments forts de cette semaine de campagne.
Comme la Manche élit désormais ses sénateurs à la proportionnelle à un tour, les deux ténors (LR) du Sénat, Philippe Bas, président de la commission des Lois, et Jean Bizet, président de la commission des Affaires européennes ont choisi de mener chacun leur liste.
Les candidats communistes affichent leur confiance pour conserver un groupe au Sénat, bénéficiant de la grogne des élus locaux contre Emmanuel Macron et de l’absence de candidats investis par la France Insoumise de Jean-Luc Mélenchon.
Alors que les estimations de résultats de La République en Marche sont de plus en plus basses, le Premier ministre Edouard Philippe a rencontré, mercredi 6 septembre, les têtes de listes de la majorité présidentielle. Il leur a demandé de passer à l'offensive.public
Le sénateur Europe Ecologie - Les Verts Ronan Dantec mène une liste en Loire-Atlantique avec la volonté de s’éloigner des appareils politiques nationaux.
La droite et le centre partent divisés aux sénatoriales dans le Nord. Marc-Philippe Daubresse, tête de liste officiel des Républicains fait face à une liste LR dissidente menée par Jean-Pierre Bataille et à la liste de la sénatrice UDI Valérie Létard.
Invité de l’Epreuve de vérité, jeudi 7 septembre, Didier Guillaume, président du groupe PS au Sénat, estime que les socialistes perdront une vingtaine de sièges au Sénat, que la droite gagnera les sénatoriales et que « Gérard Larcher sera président du Sénat ».
Le dépôt des candidatures aux sénatoriales est clos à partir de ce vendredi à 18h. Découvrez la liste des candidats publiquement déclarés au cours de l'été.
Politique
Sondage européennes 2024 : Bardella creuse l’écart, Hayer dévisse, Glucksmann en embuscade
La tête de liste de la majorité présidentielle s’enfonce dans les intentions de vote pour le scrutin du 9 juin prochain, très largement devancée par le candidat RN Jordan Bardella qui continue d’engranger des points. Surtout, elle est désormais talonnée par Raphaël Glucksmann, le candidat PS-Place publique, qui poursuit sa remontada.
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Avec 67% d’opinions négatives dans le dernier baromètre politique d’Odoxa, le président de la République ne parvient pas à se relancer auprès des Français, malgré son grand discours de la Sorbonne sur l’Europe. Resté à distance de la campagne électorale, son Premier ministre Gabriel Attal voit sa cote de popularité monter à 44%.
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Après un discours particulièrement scruté à la Sorbonne, Emmanuel Macron a répété sa volonté « d’ouvrir le débat » sur la mutualisation des armes nucléaires françaises avec les autres Etats de l’Union européenne. Si le président de la République est resté flou sur ses propositions, ces déclarations ont suscité un rejet quasi unanime au sein de la classe politique française.
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Nouveau statut de repenti, nouveau parquet national anticriminalité organisée (PNACO), nouveau crime « d’association de malfaiteurs en bande organisée »… Le garde des Sceaux a annoncé plusieurs pistes pour lutter contre le « haut du spectre » du narcotrafic. Des annonces qui s’inspirent largement des travaux de la commission d’enquête sénatoriale qui remettra son rapport le 14 mai.
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Marc Levy