Emmanuel Macron adopte Nemo, un labrador noir croisé de griffon
Le président français Emmanuel Macron a adopté ce week-end, dans un refuge de la Société protectrice des animaux, un labrador...

Emmanuel Macron adopte Nemo, un labrador noir croisé de griffon

Le président français Emmanuel Macron a adopté ce week-end, dans un refuge de la Société protectrice des animaux, un labrador...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Mis à jour le

Le président français Emmanuel Macron a adopté ce week-end, dans un refuge de la Société protectrice des animaux, un labrador croisé de griffon, baptisé Nemo, que des journalistes ont pu apercevoir lundi à l'Elysée où il a pris ses quartiers.

Le chef de l'Etat a choisi le nom du nouvel hôte du palais présidentiel en fonction du N, correspondant à son année de naissance selon l'usage, mais surtout en référence au célèbre capitaine Nemo du roman de Jules Verne "Vingt mille lieues sous les mers" qu'il apprécie particulièrement, a-t-on indiqué dans son entourage.

Agé de un à deux ans, Nemo, un mâle de couleur noire, a été aperçu par des journalistes dans le salon Murat, lieu du séminaire de rentrée du gouvernement, où il s'était introduit subrepticement.

Il succède à Philae, la jeune labrador offerte en décembre 2014 à son prédécesseur François Hollande par la Fédération des anciens combattants français de Montréal. Celle-ci a quitté l'Elysée avec son maître en mai dernier.

Depuis 50 ans, tous les présidents français ont eu un chien à l'Elysée, qui dispose de vastes jardins. Et la plupart ont choisi un labrador.

Partager cet article

Dans la même thématique

5min

Politique

Conférence Travail et Retraites : « Si on veut avancer sur les retraites, il faut passer par la case travail »

Alors que la bataille à laquelle se livrent l’exécutif et les députés sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale bat son plein à l’Assemblée nationale, les partenaires sociaux se réunissent ce matin pour la première plénière de la conférence sur les retraites. Souhaitée par Sébastien Lecornu, le ministre du Travail et des Solidarités Jean-Pierre Farandou y voit une « démarche moderne et inédite », souhaitant replacer le travail au cœur des débats.

Le