Emmanuel Macron adopte Nemo, un labrador noir croisé de griffon
Le président français Emmanuel Macron a adopté ce week-end, dans un refuge de la Société protectrice des animaux, un labrador...

Emmanuel Macron adopte Nemo, un labrador noir croisé de griffon

Le président français Emmanuel Macron a adopté ce week-end, dans un refuge de la Société protectrice des animaux, un labrador...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Mis à jour le

Le président français Emmanuel Macron a adopté ce week-end, dans un refuge de la Société protectrice des animaux, un labrador croisé de griffon, baptisé Nemo, que des journalistes ont pu apercevoir lundi à l'Elysée où il a pris ses quartiers.

Le chef de l'Etat a choisi le nom du nouvel hôte du palais présidentiel en fonction du N, correspondant à son année de naissance selon l'usage, mais surtout en référence au célèbre capitaine Nemo du roman de Jules Verne "Vingt mille lieues sous les mers" qu'il apprécie particulièrement, a-t-on indiqué dans son entourage.

Agé de un à deux ans, Nemo, un mâle de couleur noire, a été aperçu par des journalistes dans le salon Murat, lieu du séminaire de rentrée du gouvernement, où il s'était introduit subrepticement.

Il succède à Philae, la jeune labrador offerte en décembre 2014 à son prédécesseur François Hollande par la Fédération des anciens combattants français de Montréal. Celle-ci a quitté l'Elysée avec son maître en mai dernier.

Depuis 50 ans, tous les présidents français ont eu un chien à l'Elysée, qui dispose de vastes jardins. Et la plupart ont choisi un labrador.

Partager cet article

Dans la même thématique

François Bayrou Premier ministre : Marine Le Pen « ne renonce pas » à la motion de censure
6min

Politique

Chute de Bayrou : le RN face au dilemme entre normalisation et opposition

Depuis les législatives de 2024, le RN oscille entre les appels à la stabilité et le vote de certaines motions de censure. Alors que le parti met en avant une stratégie de normalisation depuis de nombreuses années, ces aller-retours s’expliquent par le besoin que le RN a toujours eu de jouer sur deux tableaux : incarner une opposition au « système », mais aussi une alternative crédible. L’actualité judiciaire de Marine Le Pen pourrait aussi jouer dans l’arbitrage.

Le