Emmanuel Macron critique les accusations de complot contre François Fillon
A Lyon, le candidat du mouvement En Marche n’a jamais nommé son rival mais a lancé une pique à son égard.

Emmanuel Macron critique les accusations de complot contre François Fillon

A Lyon, le candidat du mouvement En Marche n’a jamais nommé son rival mais a lancé une pique à son égard.
Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Emmanuel Macron organisait son grand meeting, ce samedi à Lyon. L’occasion pour lui de revenir brièvement sur l’affaire politique majeure qui secoue la politique française depuis une dizaine de jours : le PenelopeGate. « Notre responsabilité politique, c’est de ne jamais utiliser à tort les arguments de la transparence pour affaiblir untel ou untel » a-t-il d’abord lancé appelant à la « bienveillance ».

« Mais c’est aussi de ne jamais accepter, lorsque certains voudraient dire qu’il y a un complot, et que la volonté de transparence serait le complot ourdi par un camp. Quand ils font cela, ils mêlent l’indignité aux difficultés qu’ils vivent. Il nous faut toujours une exigence de bienveillance. » Il a, par la suite, critiqué le Front national.

Emmanuel macron tance « les aigreurs » du Front national
02:23

Partager cet article

Dans la même thématique

Emmanuel Macron critique les accusations de complot contre François Fillon
3min

Politique

Nouvelle-Calédonie : le sénateur indépendantiste Robert Xowie dénonce la « méthode à marche forcée de l’Etat »

Le 8 décembre, les élus du Congrès de Nouvelle-Calédonie ont donné un avis favorable à la tenue d’une « consultation anticipée » sur l’accord de Bougival. Mais plus de la moitié des votants se sont abstenus ou se sont opposés à la mesure. Le sénateur indépendantiste, Robert Xowie a demandé au gouvernement de renoncer à cette consultation « qui risquerait d’aggraver la crise et d’accentuer les divisions ».

Le

Emmanuel Macron critique les accusations de complot contre François Fillon
4min

Politique

Budget 2026 : « Je crois qu’un accord est possible, parce que l’esprit de compromis habite aussi les sénateurs », estime le centriste Hervé Marseille

Au lendemain de l’adoption du projet de loi de financement de la sécurité sociale par les députés, au prix de plusieurs concessions entre l’exécutif et la gauche, les sénateurs poursuivent leur examen du budget de l’État. L’avenir du texte dépendra de l’aptitude des parlementaires à négocier un nouveau compromis, une voie en laquelle veut croire le président du groupe UDI au Sénat.

Le