Emmanuel Macron en vacances « quelques jours » à la montagne
De retour du Niger, Emmanuel Macron "a pris quelques jours de congé" avec son épouse Brigitte dans la station de ski des Hautes...

Emmanuel Macron en vacances « quelques jours » à la montagne

De retour du Niger, Emmanuel Macron "a pris quelques jours de congé" avec son épouse Brigitte dans la station de ski des Hautes...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

De retour du Niger, Emmanuel Macron "a pris quelques jours de congé" avec son épouse Brigitte dans la station de ski des Hautes-Pyrénées La Mongie, a indiqué l'Elysée, d'où il reviendra dans la semaine pour préparer sa probable allocution des voeux le 31 au soir.

Ce sont ses deuxièmes vacances depuis son élection. Cet été, le chef de l'Etat avait passé une quinzaine de jours à Marseille, dans la villa du préfet de région.

Pour cette semaine, l'Elysée n'a donc publié aucun agenda officiel.

Emmanuel Macron connaît la station pyrénéenne depuis son enfance, lorsqu'il rendait visite à sa grand-mère maternelle qui habitait Bagnères-de-Bigorre, non loin de là.

Des images de la chaîne BFMTV l'ont montré lundi saluant les habitants dont beaucoup le connaissent, puis prenant un téléski pour aller déjeuner en terrasse au restaurant d'altitude "L'Etape du berger", dont le gérant est un de ses amis. Il s'est également prêté au jeu de la photo avec l'équipe de La Mama, le restaurant où il a dîné, selon France 3 Occitanie.

"On a cassé la croûte ensemble à midi à l'Etape du berger. Il faut qu'il se repose car il a beaucoup de travail. Je le connais bien depuis de longues années. Mais il est en forme. Il a l'œil vif, je vous rassure", a déclaré à La Dépêche du Midi Eric Abadie, gérant du restaurant.

Il s'était déjà rendu dans la station pyrénéenne le 12 avril, pendant la campagne présidentielle, déclarant à l'époque: c'est "là où j’ai une partie de mes racines, de ma famille, où j’ai appris à marcher, à skier, à faire du vélo". "J’avais envie de retrouver mes racines car il ne faut jamais oublier d'où on vient et avec qui on a grandi. Il ne faut jamais perdre ses repères où qu’on aille", avait-il ajouté. Il avait même poussé la chansonnette à "L'Étape du berger" avant un grand meeting avec François Bayrou à Pau, rappelle La Dépêche.

Partager cet article

Dans la même thématique

Capture 2
3min

Politique

Cancers : l’Union européenne n’a pas « d’excuse pour ne rien faire »

Un sommet européen sur le Cancer doit se tenir à Bruxelles du 19 au 20 novembre. Il s’agit de la deuxième cause de mortalité sur le Vieux Continent. Chaque année, 2,6 millions de nouveaux cas sont diagnostiqués. Tabac, alcool, pesticides, polluants divers, nos modes de vie et conditions de travail sont en cause. Alors, comment endiguer le fléau du cancer dans l’Union européenne ? Pourquoi sommes-nous aussi touchés ? Ici l’Europe ouvre le débat avec les eurodéputés Laurent Castillo (PPE, France) et Tilly Metz (Verts, Luxembourg). L'UE n'a pas "d'excuse pour ne rien faire", estime cette dernière.

Le

Paris : session of questions to the government at the Senate
9min

Politique

Face à un « budget cryptosocialiste », la majorité sénatoriale veut « éradiquer tous les impôts » votés par les députés

Ils vont « nettoyer » le texte, le « décaper ». Les sénateurs de droite et du centre attendent de pied ferme le budget 2026 et le budget de la Sécu. Après avoir eu le sentiment d’être mis à l’écart des discussions, ils entendent prendre leur revanche, ou du moins défendre leur version du budget : plus d’économies et faire table rase des impôts votés par les députés.

Le

Marseille: Amine Kessaci candidate
4min

Politique

Assassinat du frère d’Amine Kessaci : le militant écologiste engagé contre le narcotrafic était « sous protection policière et exfiltré de Marseille depuis un mois »

Le petit frère d’Amine Kessaci, jeune militant écologiste marseillais, connu pour son combat contre le narcotrafic, a été tué par balles jeudi soir à Marseille. L’hypothèse d’un assassinat d’avertissement est privilégiée et pourrait faire basculer la France un peu plus vers ce qui définit les narco Etats. C’est ce que craignaient les sénateurs de la commission d’enquête sur le narcotrafic. Le sénateur écologiste de Marseille Guy Benarroche, proche d’Amine Kessaci a pu s’entretenir avec lui, ce matin.

Le