Etre président, c'est "un honneur", mais "il y a des jours qui sont faciles et d'autres non", a déclaré lundi Emmanuel Macron en échangeant avec des collégiens de Laval pour la rentrée scolaire.
Se prêtant au jeu du portrait chinois dans une classe du collège Jules-Renard, le chef de l'Etat répond "professeur" à la question: "si vous étiez un métier".
"Je pense que professeur c'est un beau métier (...) alors que président, c'est pas vraiment un métier" car il ne dure que "le temps d'un mandat", a souligné le président qui est marié à l'une de ses anciennes professeures.
"Pourquoi avez-vous décidé d'être président?", lui demande un élève. "Parce que j'avais envie de faire des choses pour mon pays (...) parce que j'aime mon pays et que j'en suis fier (...) et que j'avais envie de faire des choses pour l'Europe", répond Emmanuel Macron. Avant d'ajouter: "parce qu'on est à un moment particulier de notre histoire et que j'avais envie de convaincre les gens que c'était possible de le faire".
Emmanuel Macron échange avec des élèves du collège Jules-Renard à Laval le 3 septembre 2018, jour de la rentrée des classes
POOL/AFP
Au jeu du portrait chinois, il répond par ailleurs qu'il serait "un chien" s'il était un animal et "la blanquette de veau", son mets "préféré" s'il était un plat cuisiné.
Accompagné par le ministre de l'Education Jean-Michel Blanquer, Emmanuel Macron a ensuite visité l'internat du collège, qui ouvre pour cette rentrée. "Ne t'en fais pas, ça va aller", dit-il à un jeune de 5e découvrant le pensionnat, avant de discuter de football avec plusieurs autres jeunes.
Arthur Jugnot joue tous les rôles au théâtre, tantôt metteur en scène, auteur ou encore acteur. La scène n’a désormais plus de secret pour lui et depuis plus de vingt-cinq ans, il enchaîne écritures, tournages et représentations à un rythme effréné qui ferait tourner la tête à plus d’un. Invité de Rebecca Fitoussi dans Un monde, un regard, il revient sur son parcours et partage son expérience.
La commission des affaires sociales du Sénat a examiné ce 15 novembre le projet de loi de financement de la Sécurité sociale, transmis mercredi. Les rapporteurs veulent faire table rase de nombreuses modifications faites par les députés, qui ont aggravé le déficit de 17,5 à 24 milliards d’euros.
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Ils vont « nettoyer » le texte, le « décaper ». Les sénateurs de droite et du centre attendent de pied ferme le budget 2026 et le budget de la Sécu. Après avoir eu le sentiment d’être mis à l’écart des discussions, ils entendent prendre leur revanche, ou du moins défendre leur version du budget : plus d’économies et faire table rase des impôts votés par les députés.