Le Rassemblement national (24%) reste en tête des intentions de vote aux élections européennes du 26 mai devant La République en Marche (22%), selon un sondage OpinionWay Tilder diffusé jeudi.
L'écart entre le RN et LREM alliée au MoDem est stable sur une semaine. Le duo de tête devance la liste Les Républicains, à 14% (=), selon cette enquête pour Les Echos et Radio Classique.
Plusieurs sondages ont donné ces derniers jours le RN en tête avec 1 à 3 points d'avance sur En Marche.
Loin derrière, La France insoumise (8%, =) et EELV (7%, =) ne parviennent pas à se départager et le PS/Place publique est crédité de tout juste 5% (=), le seuil pour avoir des élus au Parlement européen.
Le PCF (+1) et Debout la France (=) recueillent 4% d'intentions de vote, Génération.s (-1) et l'UDI (=) sont à 2%. Six autres listes sont à 1%, dont "Alliance jaune" (-1), liée au mouvement des "gilets jaunes". Enfin, 22% des personnes interrogées n'ont pas exprimé d'intention de vote.
La participation est estimée à 40% du corps électoral, en baisse d'un point sur une semaine, au-dessous de la participation effective (42,4%) de 2014. 53% (-2) des personnes interrogées se disent intéressées par la campagne électorale.
L'affiche électorale de La République en marche (LREM) pour les élections européennes, le 15 mai 2019 à Montpellier
AFP
Enfin, si 41% (+1) veulent exprimer leur opposition à l'action d'Emmanuel Macron et de son gouvernement et 13% (+1) leur soutien, ce n'est pas l'essentiel pour 44% (-1) des Français interrogés.
Etude réalisée du 8 au 15 mai auprès de 1.973 personnes inscrites sur les listes électorales, selon la méthode des quotas. Marge d'erreur de 1 à 2,2 points.
Les intentions de vote ne constituent pas une prévision de résultat. Elles donnent une indication des rapports de force et des dynamiques au jour de la réalisation du sondage.
Cinq ans après un premier rapport sur le financement de la lutte contre les violences faites aux femmes, les sénateurs Arnaud Bazin et Pierre Barros ont présenté ce jeudi 3 juillet un nouveau rapport sur le sujet. Les deux élus pointent un financement trop faible et une politique publique peu lisible.
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