Fillon ne croit pas qu’il y a « 50 ou 60% des Français communistes et d’extrême droite »
François Fillon a rejeté l'éventualité d'un second tour Mélenchon/Le Pen, disant ne pas croire "qu'il y ait 50 ou 60% des...

Fillon ne croit pas qu’il y a « 50 ou 60% des Français communistes et d’extrême droite »

François Fillon a rejeté l'éventualité d'un second tour Mélenchon/Le Pen, disant ne pas croire "qu'il y ait 50 ou 60% des...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

François Fillon a rejeté l'éventualité d'un second tour Mélenchon/Le Pen, disant ne pas croire "qu'il y ait 50 ou 60% des Français qui soient communistes et d'extrême-droite", a-t-il déclaré jeudi sur BFMTV.

"Je ne crois pas à ces sondages. Je ne crois pas un seul instant qu'il y ait 50 ou 60% de Français qui soient aujourd'hui des révolutionnaires, des communistes et des gens d'extrême-droite", a déclaré le candidat LR à la présidentielle, talonné dans les derniers sondages par Jean-Luc Mélenchon.

"Il y a de l'émotion dans ces sondages, des manifestations de colère, le jeu des électeurs avec les sondeurs, les médias, le milieu politique", a-t-il décrypté.

Interrogé sur les propos de Jean-Luc Mélenchon qui a affirmé mercredi soir que les Français allaient "cracher du sang" si l'un de ses trois principaux concurrents gagnait la présidentielle, l'ancien Premier ministre a estimé que l'on voyait là "le discours communiste dont on croyait qu'il avait totalement disparu de la face de la planète".

Questionné sur l'éventualité d'un blocage pour faire ses réformes s'il venait au pouvoir, il a répondu "j'ai l'autorité morale pour le faire".

Dans la même thématique

Fillon ne croit pas qu’il y a « 50 ou 60% des Français communistes et d’extrême droite »
3min

Politique

Un an après la dissolution : « Les Français ont le sentiment que la France fait la planche » selon le politologue Brice Teinturier

Un an après la dissolution voulue par Emmanuel Macron, le paysage politique français semble avoir évolué vers un blocage institutionnel. A l’Assemblée, l’absence de majorité empêche les textes d’être votés. Pire, des motions permettent d’enjamber l’examen à l’Assemblée pour que le débat soit tranché en commission mixte paritaire. Comment la dissolution a-t-elle modifié le fonctionnement des institutions ? C’est la question à laquelle répondent les invités de Rebecca Fitoussi et Jean-Pierre Gratien dans cette émission spéciale sur la dissolution, un an après.

Le

Fillon ne croit pas qu’il y a « 50 ou 60% des Français communistes et d’extrême droite »
4min

Politique

Un an après la dissolution, Gérard Larcher estime que « c'est la présidentielle qui redonnera le nouveau souffle dont nous avons besoin »

Invité de Public Sénat ce vendredi 6 juin, le président du Sénat est longuement revenu sur la situation du pays. À ses yeux, seule la prochaine présidentielle permettra de mettre fin au blocage politique lié à la dissolution. Evoquant également l’urgence budgétaire, il estime que « l’année blanche est une piste sérieuse ».

Le

SIPA_01204192_000001
6min

Politique

Olivier Faure à la tête du PS : « Ce que va montrer le congrès de Nancy, c’est la faiblesse du parti »

Après sa réélection de justesse à la tête du PS, le plus dur commence pour Olivier Faure. Le premier secrétaire va avoir la lourde tâche d’unir un parti divisé, de conserver ses principaux bastions socialistes aux prochaines municipales ou encore de fixer une stratégie pour une candidature crédible à la prochaine présidentielle. Analyse du politiste Pierre-Nicolas Baudot et de l’historien, Alain Bergougnioux.

Le