Fonction publique : « Il n’y aura aucun effet négatif de la CSG » assure Christophe Castaner
Au micro de « Sénat 360 », Christophe Castaner, secrétaire d’État chargé des relations avec le Parlement, a voulu rassurer les fonctionnaires sur leur pouvoir d’achat, alors que plusieurs dizaines de milliers d’entre eux ont manifesté dans toute la France ce mardi.

Fonction publique : « Il n’y aura aucun effet négatif de la CSG » assure Christophe Castaner

Au micro de « Sénat 360 », Christophe Castaner, secrétaire d’État chargé des relations avec le Parlement, a voulu rassurer les fonctionnaires sur leur pouvoir d’achat, alors que plusieurs dizaines de milliers d’entre eux ont manifesté dans toute la France ce mardi.
Public Sénat

Par Public Sénat

Temps de lecture :

1 min

Publié le

Mis à jour le

Des dizaines de milliers de fonctionnaires se sont mobilisées mardi 10 octobre, faisant grève pour dénoncer les mesures du gouvernement les concernant. Christophe Castaner, secrétaire d’État chargé des relations avec le Parlement, a tenté de les rassurer afin de calmer la grogne : « En aucun cas l’augmentation de la CSG (…) n’aura comme conséquence de diminuer le pouvoir d’achat des fonctionnaires. Et donc la CSG sera intégralement compensée, il n’y aura aucun effet négatif de la CSG ».

« [Le pouvoir d’achat des fonctionnaires] augmentera en 2017 de 3,7% en moyenne pour la fonction publique d’État. Et il augmentera dans tous les cas l’année prochaine d’environ 2%. Ce n’est pas négligeable » a-t-il martelé.

Partager cet article

Dans la même thématique

5min

Politique

Conférence Travail et Retraites : « Si on veut avancer sur les retraites, il faut passer par la case travail »

Alors que la bataille à laquelle se livrent l’exécutif et les députés sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale bat son plein à l’Assemblée nationale, les partenaires sociaux se réunissent ce matin pour la première plénière de la conférence sur les retraites. Souhaitée par Sébastien Lecornu, le ministre du Travail et des Solidarités Jean-Pierre Farandou y voit une « démarche moderne et inédite », souhaitant replacer le travail au cœur des débats.

Le