Fonctionnement de LREM: Faure (PS) dénonce « une supercherie,une mystification »
Le nouveau monde? "c'est une supercherie, une mystification" a dénoncé jeudi Olivier Faure, patron du groupe Nouvelle Gauche à l...

Fonctionnement de LREM: Faure (PS) dénonce « une supercherie,une mystification »

Le nouveau monde? "c'est une supercherie, une mystification" a dénoncé jeudi Olivier Faure, patron du groupe Nouvelle Gauche à l...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Le nouveau monde? "c'est une supercherie, une mystification" a dénoncé jeudi Olivier Faure, patron du groupe Nouvelle Gauche à l'Assemblée nationale, en réaction à la méthode utilisée pour choisir le chef du mouvement présidentiel.

"Ils se sont bâti sur une promesse qui était celle d'un nouveau monde et d'une forme d'horizontalité or, dans ce mouvement comme dans ce gouvernement, tout est vertical donc c'est difficile d'aller expliquer aux gens à qui ont a dit + les partis d'avant, c'était horrible, c'était pyramidal, y avait un chef en haut, une base en bas+ là, c'est pire que tout" a-t-il dénoncé lors de l'émission "Questions d'info" LCP-franceinfo-Le Monde-AFP.

Le nouveau monde, "c'est une supercherie, une mystification, c'est un élément de communication que rien ne recoupe et je le regrette car sur ce nouveau monde là, moi, j'aurais été présent et j'aurais considéré effectivement qu'il y a des choses à faire", a-t-il asséné.

"C'est un fonctionnement qui est totalement vertical où les adhérents d'En Marche n'ont aucune capacité à influer sur le déroulé de la vie politique", a-t-il pointé.

M. Faure s'est tout de même dit "content" pour Christophe Castaner, 51 ans, ancien membre du Parti socialiste."Je ne suis pas sûr que ce soit forcément une gageure que d'être président d'un mouvement naissant dont personne ne comprend le fonctionnement mais je lui souhaite bon courage", a-t-il dit.

Officiellement candidat pour la direction du parti présidentiel, Christophe Castaner, actuellement porte-parole du gouvernement, a été adoubé lundi par l'Elysée.

Partager cet article

Dans la même thématique

Fonctionnement de LREM: Faure (PS) dénonce « une supercherie,une mystification »
3min

Politique

Airbnb permet « payer les études de mes enfants », se défend cette propriétaire de Cagnes-sur-Mer

La France fait la part belle à Airbnb. La plateforme d’hébergement est désormais présente dans 80% des communes de l’hexagone. Une inflation des locations de courte durée qui a un impact direct sur la crise du logement. Dans certaines villes, le marché est saturé et le prix des loyers n’a jamais été aussi élevé. Mais pour certains propriétaires qui mettent leur bien en location, c’est aussi un revenu d’appoint utile pour entretenir leur patrimoine comme en témoigne Elodie Fakhfakh, face à trois sénatrices dans l’émission Dialogue Citoyen, présentée par Quentin Calmet.

Le

Documentaire Churchill chef de guerre de Peter Bardelhe
3min

Politique

Et si Winston Churchill était le grand perdant de la victoire des alliés en 1945 ?

L’Histoire a retenu de Winston Churchill un héros triomphant au balcon de Buckingham Palace après la capitulation des nazis. Mais proclamer le signe de la victoire avec la main ne suffit pas, encore faut-il en récupérer les bénéfices. A l’issue de la Seconde Guerre mondiale, la Grande-Bretagne a vu son influence dégringoler. Malgré les efforts du Vieux lion, les deux superpuissances, américaine et soviétique, ont imposé un agenda politique au détriment des intérêts britanniques. Le réalisateur Peter Bardelhe a fait le pari d’expliquer cette partie de poker diplomatique entre les vainqueurs de 1945 dans un documentaire Churchill, chef de guerre diffusé sur Public Sénat.

Le

Paris: Gerard Larcher elu President du Senat
3min

Politique

Échec de la CMP sur le budget : Gérard Larcher dénonce le « manque de considération » de Sébastien Lecornu à l’égard du Sénat

Le gouvernement et la majorité sénatoriale se renvoient la responsabilité de l’échec de la commission mixte paritaire (CMP) sur le projet de loi de finances 2026. Gérard Larcher répond à Sébastien Lecornu en défendant la position du Sénat pendant l’examen du budget et en dénonçant « le manque de considération » et « les mots excessifs » du Premier ministre.

Le