Discours d'Emmanuel Macron sur les séparatismes : « Il ne suffira pas d'appliquer des réponses juridiques à un problème politique. C'est un adversaire politique que nous devons affronter : c'est l'islam politique qui veut fracturer la société française » « Quelle incroyable fragilité que ce président de la République qui nous explique que c'est de la faute de la France si aujourd'hui des attentats sont commis sur le sol français ! » « Pour les familles qui choisissent de transmettre l'enseignement de l'arabe à leurs enfants via des formations religieuses, il est clair qu'elles ne se tourneront pas vers l'école de la République pour proposer un enseignement laïc de l'arabe »
Parlement européen à Strasbourg : « Il faut qu'à horizon de 10, 15, 20 ans, nous ayons une vraie stratégie pour faire en sorte que le Parlement s'installe vraiment à Strasbourg. Nous n'avons pas besoin d'être à Bruxelles, dans les jupes de la Commission, pour faire un travail efficace »
Troisième référendum en Nouvelle-Calédonie : « Je crois que cette stratégie était absurde. La répétition des votes a très peu de sens. On devrait pouvoir s'arrêter à ce référendum. Maintenant ce sera la décision des élus de Nouvelle-Calédonie »
Turquie : « Aujourd'hui l'Europe n'arrive pas à parler avec force pour dire que M. Erdogan doit s'arrêter et pour menacer de sanctions le régime de M. Erdogan s'il franchissait de nouveau ces lignes rouges »
Plan de relance européen : « Créer un emprunt européen n'était pas la bonne réponse [...] maintenant il faut faire en sorte qu'au moins cet argent soit dépensé de la manière la plus rationnelle possible » « Il faut faire en sorte qu'au moins cet argent soit investi dans des projets susceptibles de nous garantir demain une forme de prospérité future »
Situation des Républicains : « Christian Estrosi a absolument tort lorsqu'il pense que nous pourrions remédier à la crise [des Républicains] en acceptant de nous dissoudre dans le macronisme. Le macronisme aujourd'hui a fait la preuve de son échec »