Frédérique Vidal : « Les universités ne sont pas des lieux de radicalisation »
Frédérique Vidal était l’invitée politique de l’émission « Bonjour Chez Vous ! », la matinale de Public Sénat, ce vendredi 30 octobre. La ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation s’est exprimée suite à l’attentat de Nice sur la problématique de l’islamisme. Elle affirme que les universités ne sont pas des lieux de radicalisation. Selon elle, l’islamisme fait des ravages à l’université comme dans le reste de la société. Elle était au micro Oriane Mancini. 

Frédérique Vidal : « Les universités ne sont pas des lieux de radicalisation »

Frédérique Vidal était l’invitée politique de l’émission « Bonjour Chez Vous ! », la matinale de Public Sénat, ce vendredi 30 octobre. La ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation s’est exprimée suite à l’attentat de Nice sur la problématique de l’islamisme. Elle affirme que les universités ne sont pas des lieux de radicalisation. Selon elle, l’islamisme fait des ravages à l’université comme dans le reste de la société. Elle était au micro Oriane Mancini. 
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Mis à jour le

Plan vigipirate renforcé : « Il y a des protocoles prévus dans les établissements d'enseignement supérieur. Les protocoles sont prêts, malheureusement depuis 2015. » 

Jean-Michel Blanquer parle des "ravages de l'islamo-gauchisme à l'université" : « L'islamisme fait des ravages dans notre société et au sein de l'université et parmi certains étudiants comme partout ailleurs. » 

Ouvrir le débat sur le voile à l'université ? « Non, parce qu'à l'université on a affaire à de jeunes adultes. Chacun a le droit de s'habiller comme il le souhaite. Aujourd'hui rien n'interdit le port du voile à l'université. » 

Crise sanitaire dans les universités : « Les universités c'est potentiellement beaucoup de brassages. C'est ça qui doit évidemment être évité. Les universités ne sont pas fermées simplement les modalités d'enseignement sont adaptées. » « Bien sûr il y a un public fragile dans les universités comme dans les écoles. C'est pour ça que les services des Crous, les services sociaux des établissements, les associations étudiantes vont se remobiliser. » « Les chiffres des clusters chez les étudiants sont extrêmement faibles en réalité. En Ile-de-France, c'est un peu moins de 1000 étudiants positifs sur 705 000 [...] On est monté à une trentaine de sites fermés sur l'ensemble du territoire. » 

Loi sur la Recherche : « J'entends ce que disent les oppositions sur le budget. Si, lorsqu'elles étaient en responsabilité elles avaient commencé ce processus, aujourd'hui nous n'en serions pas là. Là c'est concret, dès l'année prochaine. » 

 

Partager cet article

Dans la même thématique

Frédérique Vidal : « Les universités ne sont pas des lieux de radicalisation »
5min

Politique

Financement de la lutte contre les violences faites aux femmes : « Il faut donner à l’administration les moyens de ses missions », prévient la commission des finances

Cinq ans après un premier rapport sur le financement de la lutte contre les violences faites aux femmes, les sénateurs Arnaud Bazin et Pierre Barros ont présenté ce jeudi 3 juillet un nouveau rapport sur le sujet. Les deux élus pointent un financement trop faible et une politique publique peu lisible.

Le

Frédérique Vidal : « Les universités ne sont pas des lieux de radicalisation »
2min

Politique

Travail le 1er mai des boulangers et des fleuristes : « Nous souhaitons évidemment protéger ce 1er mai, mais par contre nous souhaitons clarifier la situation »

Invitée de la matinale de Public Sénat, la sénatrice de Vendée, Annick Billon, a défendu les principes de sa proposition de loi visant à permettre aux fleuristes et aux boulangers d’ouvrir le 1er mai. Un texte qui vise à éviter que ces commerçants soient exposés à des amendes en cas d’ouverture.

Le