Politique
Le Premier ministre a confirmé que les propositions budgétaires du gouvernement, annoncées un peu après le 14 juillet, permettront de réduire le déficit à 4,6 % du PIB en 2026.
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Par Public Sénat
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« L’intercommunalité forcée, les réorganisations pendant des années et la régionalisation accélérée avec les phénomènes économiques qu’on vit, a donné le sentiment qu’on s’éloignait » a constaté Emmanuel Macron au début de sa longue intervention dans un gymnase surchauffé à Grand Bourgtheroulde dans l’Eure. Raison pour laquelle, au milieu de plusieurs centaines d’élus, le chef de l’État s’est « dit prêt à rouvrir la loi NOTRe ». La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République, adoptée en 2015 sous le quinquennat précédent, renforce notamment la compétence des régions et celle des intercommunalités.
« Je crois profondément qu’on a besoin de remettre de la responsabilité au plus près du terrain, du contact en quelque sorte de la clarté et du sens dans nos décisions (….) Donc moi je suis prêt à rouvrir la loi NOTRe (…) On voit bien qu’on a besoin d’une respiration sur des choses qui ont été mal faites »
Emmanuel Macron a indiqué qu’il souhaitait que Jacqueline Gourault, la ministre de la Cohésion des territoires et son ministre délégué « puissent porter un projet un projet qui permette d’améliorer ce qui dans cette loi ne fonctionne pas ».
Sébastien Lecornu avait expliqué peu ou prou la même chose sur Public Sénat en octobre dernier.
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