La passation de pouvoirs avec le président élu Emmanuel Macron aura lieu dimanche à l'Elysée, a annoncé lundi le président François Hollande en marge des cérémonies du 8 mai à l'Arc de Triomphe à Paris auxquelles il a assisté avec son successeur.
Hollande: Macron m’a « suivi » puis « s’est émancipé », sans trahir
La passation de pouvoirs avec le président élu Emmanuel Macron aura lieu dimanche à l'Elysée, a annoncé lundi le président François Hollande en marge des cérémonies du 8 mai à l'Arc de Triomphe à Paris auxquelles il a assisté avec son successeur.
Par Public Sénat avec AFP / Images France Télévisions
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Les présidents sortant et élu François Hollande et Emmanuel Macron ont déposé lundi côte à côte la traditionnelle gerbe des commémorations du 8 mai 1945 sur la tombe du Soldat inconnu, sous l'Arc de Triomphe.
POOL/AFP
La passation de pouvoirs avec le président élu Emmanuel Macron aura lieu dimanche à l'Elysée, a annoncé lundi le président François Hollande en marge des cérémonies du 8 mai à l'Arc de Triomphe à Paris auxquelles il a assisté avec son successeur.
Le chef de l'Etat a déclaré ressentir « beaucoup d'émotion », lors de ces cérémonies, à donner « la marche à suivre » à Emmanuel Macron, qui, dans son parcours politique, l'a « suivi » puis « s'est émancipé », sans trahir, et « a été élu ».
François Hollande : Macron m'a « suivi » puis « s'est émancipé », sans trahir
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Le Président sortant a également tenu à lui adresser tous « (s)es voeux de réussite ». « Il sera toujours le bienvenu et je serai toujours à ses côtés », a t-il ajouté. Il s'est dit prêt à répondre à « toutes les sollicitations qui lui seront faites », à commencer par celles d'Emmanuel Macron s'il a besoin de « conseils ». Car François Hollande tient à souligner que c'est à ses côtés que son poulain a commencé : « C’est à lui maintenant, fort de l'expérience qu’il a acquérit auprès de moi, de continuer sa marche ». « Je ne veux pas capter Emmanuel Macron, ce sont les Français qui l'ont choisi », garantit-il.
C’est l'un des Belges les plus connus de la scène humoristique francophone. Passé par France Inter, il officie désormais à RTL. Comment un humoriste est-il passé d’un public à l’autre ? Comment faire indifféremment rire un public de droite et de gauche ? Cette semaine, Alex Vizorek est l’invité de Rebecca Fitoussi dans l’émission Un monde, un regard.
« Un discours ferme et rassembleur ». Pour la députée centriste du groupe Renew, Fabienne Keller, les propos tenus par Ursula von der Leyen sont « absolument essentiels en ce moment historique où nous sommes en tension maximum avec Vladimir Poutine ». La présidente de l’exécutif européen a en effet annoncé une esquisse de nouvelles sanctions contre la Russie. Dans ce contexte, l’eurodéputée française estime que « la défense que l’on n’a pas voulue dans les années 50, s’impose à nous » désormais. « C’est un peu tard mais elle commence à réagir » Concernant le conflit israélo-palestinien, l’eurodéputé espagnol Javier Moreno Sanchez espère que qu’Ursula von der Leyen ira plus loin dans la condamnation des actes commis par l’Etat hébreu. « Ce que nous lui demandons, c’est qu’elle agisse avec la même fermeté dans les deux guerres qu’on a à nos portes ». A la surprise générale, la présidente de la Commission a annoncé vouloir suspendre une partie de l’accord d’association entre l’Union européenne et Israël, mais pour le social-démocrate, c’est l’ensemble de ce texte qui doit remis en cause. Mais pour l’eurodéputé espagnol, l’urgence est de ne pas revenir sur les grands textes des précédentes mandatures de la Commission. Qu’il s’agisse du pacte migratoire ou des mesures écologiques, « il ne faut pas qu’Ursula von der Leyen démonte les propositions qu’elle a faites (…) on ne savait pas que la droite traditionnelle pro-européenne allait jouer avec l’extrême droite ». « Ce n’est pas une Europe sociale, mais une Europe militariste » Le groupe des Conservateurs et réformistes est nettement plus critique vis-à-vis du grand oral de la présidente de la commission. L’élu roumain Gheorghe Piperea souhaite la démission de la commissaire allemande. En juillet, il faisait déjà partie de ceux qui avait voté une motion de censure à l’encontre de cette dernière. Pour cet eurodéputé conservateur l’Union européenne nourrirait le conflit ukrainien en multipliant ses aides, notamment militaires. Ce député a par ailleurs dénoncé l’accord commercial conclu « sur un terrain de golf en Ecosse » entre Ursula von der Leyen et Donald Trump, le qualifiant « d’échec ». Retrouver l’intégralité de l’émission en intégralité ici
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