Par Public Sénat
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« Je vais faire une première mondiale (…) Je serai présent à Lyon personnellement et physiquement. Et je serai présent à Paris grâce à un hologramme » a annoncé, lors d’une conférence de presse, le candidat de la France Insoumise. « Vous allez donc assister au premier meeting holographique en direct du monde » a-t-il modestement indiqué, avant d’ajouter : « j’espère que la nouvelle fera sourire et que vous apprécierez le symbole ». Pari gagné, cet après midi, les réseaux sociaux n’ont pas manqué d’en rire. Sans surprise, c’est évidemment Star Wars la référence la plus détournée pour colporter la nouvelle.
Mais aussi Claude François....
Présent hier devant le Sénat aux côtés d’élus communistes venus défendre leur proposition d’abrogation de la loi Travail, le député européen avait pourtant prévenu, qu’il avait « encore sous le pied deux ou trois ruses de campagne » destinées à « scotcher ». Attendons tout de même de voir le résultat, même si avec plus de 160 000 abonnés sur sa chaine Youtube, Jean-Luc Mélenchon a déjà fait montre d’une certaine maitrise en matière de nouveaux modes de communication. Toutefois, comme le rappelle le journaliste de Télérama, Olivier Tesquet, Premier ministre indien Narendra Modi a déjà utilisé la technique holographique pour un meeting. Pas de première mondiale donc, n’en déplaise à Jean-Luc Mélenchon.
Le dimanche 5 février, La capitale des Gaules aura, finalement, le privilège d’accueillir les meetings d’Emmanuel Macron, de Marine Le Pen et de Jean-Luc Mélenchon, dont on suppose que la venue a pour but, entre autres, de contrecarrer l’entrée en campagne officielle de la candidate frontiste.
Politique
Invité de notre matinale, le général Gomart a estimé que s’il était à la place d’Emmanuel Macron, il démissionnerait pour « redonner un souffle à la France. » L’eurodéputé LR est aussi revenu sur le réarmement européen qui va nécessairement prendre du temps, a expliqué l’ancien directeur du renseignement militaire.
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Politique
« Les politiques parlent des migrants comme si c’étaient tous des sauvages » s’insurge Louis Chedid
C’est un nom, une voix, des textes et des mélodies qui nous accompagnent depuis 50 ans. S’il chante l’amour, l’absence, et la mélancolie, parfois aux côtés de ses enfants, il reste d’abord un homme engagé contre les discours de haine. Auteur d' « Anne, ma sœur, Anne », ce descendant d’immigrés chrétiens libanais, réfugiés en Egypte, refuse que les populations immigrées soient caricaturées et instrumentalisées. Cette semaine, Louis Chedid est l’invité de Rebecca Fitoussi dans Un monde, un regard.
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Un an après la dissolution voulue par Emmanuel Macron, le paysage politique français semble avoir évolué vers un blocage institutionnel. A l’Assemblée, l’absence de majorité empêche les textes d’être votés. Pire, des motions permettent d’enjamber l’examen à l’Assemblée pour que le débat soit tranché en commission mixte paritaire. Comment la dissolution a-t-elle modifié le fonctionnement des institutions ? C’est la question à laquelle répondent les invités de Rebecca Fitoussi et Jean-Pierre Gratien dans cette émission spéciale sur la dissolution, un an après.
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Invité de Public Sénat ce vendredi 6 juin, le président du Sénat est longuement revenu sur la situation du pays. À ses yeux, seule la prochaine présidentielle permettra de mettre fin au blocage politique lié à la dissolution. Evoquant également l’urgence budgétaire, il estime que « l’année blanche est une piste sérieuse ».
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