Hommage au policier tué en présence de Macron et Le Pen

Hommage au policier tué en présence de Macron et Le Pen

L'hommage national au policier tué jeudi lors de l'attentat sur les Champs-Elysées a débuté mardi dans la matinée, en présence notamment des...
Public Sénat

Temps de lecture :

2 min

Publié le

Mis à jour le

L'hommage national au policier tué jeudi lors de l'attentat sur les Champs-Elysées a débuté mardi dans la matinée, en présence notamment des deux candidats qualifiés pour le second tour de l'élection présidentielle, Emmanuel Macron et Marine Le Pen.

Le chef de l'Etat François Hollande devait prendre la parole lors de cet hommage à Xavier Jugelé, dans la cour de la préfecture de police à Paris.

Parmi les personnalités présentes figuraient l'ex-chef de l'Etat Nicolas Sarkozy, les anciens Premier ministres Jean-Marc Ayrault, Manuel Valls, ou encore Jean-Pierre Raffarin, ainsi que le procureur de Paris, François Molins, et les présidents de l'Assemblée nationale et du Sénat Claude Bartolone et Gérard Larcher.

Des policiers rendent hommage à leur confrère Xavier Jugelé tué dans un attentat sur les Champs-Elysées, le 25 avril 2017 à Paris
Des policiers rendent hommage à leur confrère Xavier Jugelé tué dans un attentat sur les Champs-Elysées, le 25 avril 2017 à Paris
AFP

Xavier Jugelé, 37 ans, a été tué jeudi de deux balles dans la tête par Karim Cheurfi, qui a blessé deux autres policiers, dont l'un grièvement, ainsi qu'une touriste allemande, avant d'être abattu. Lors de la cérémonie, le compagnon de Xavier Jugelé, avec lequel il était pacsé, devrait prendre la parole.

L'attentat avait bouleversé la fin de la campagne trois jours avant le premier tour de la présidentielle.

Dans la même thématique

Hommage au policier tué en présence de Macron et Le Pen
10min

Politique

Présence de la gauche au gouvernement, rôle de la droite : au Sénat, on phosphore sur l’après Barnier

Alors que le gouvernement s’apprête à tomber, chacun réfléchit à la suite. A droite, « le nom de François Baroin recircule », glisse le sénateur LR Roger Karoutchi. Au PS, on tend la main. « Nous sommes à la disposition du président de la République », avance Patrick Kanner, à la tête du groupe PS du Sénat. Pour le centriste Hervé Marseille, il faut « trouver une plateforme d’action, comme disent les socialistes, de non censurabilité, pour essayer de trouver un accord ». Les grandes manœuvres ont commencé.

Le

Hommage au policier tué en présence de Macron et Le Pen
4min

Politique

Motion de censure : « Il ne fallait pas attendre les dernières 48 heures » pour qu’un dialogue puisse s’établir entre le gouvernement et les députés, tacle Frédéric Valletoux

Ce mardi, Frédéric Valletoux, député Horizons de Seine-et-Marne, ancien ministre de la Santé, était invité de la matinale de Public Sénat. Au lendemain de l’engagement de la responsabilité du gouvernement par Michel Barnier, et à la veille du vote d’une motion de censure, il est revenu sur la méthode adoptée par le Premier ministre depuis sa nomination. Il pointe notamment un manque de dialogue entre les députés du socle commun et le gouvernement.

Le